Les Editions Harlequin 2014
175 pages
Synopsis :
1859, États-Unis. Lorsque Keir Macarthur découvre après le décès de son frère que ce dernier s’est marié et a eu une petite fille, il se promet de tout faire pour ramener l’enfant dans le clan des Macarthur : s’il n’a pu sauver son frère, hanté par les démons du jeu et de l’alcool, il veillera au bien-être de la petite Lucy. Pour ce faire, il se met en tête de prouver le manque de respectabilité de la mère, une certaine Texas. Car qui d’autre qu’une femme intéressée et de peu de vertu aurait pu épouser son frère ? Afin de mieux la cerner et l’observer, Keir invite Texas et sa fille à séjourner dans leur immense propriété. Sauf qu’à sa grande surprise, la jeune femme est très différente de ce qu’il avait imaginé… A propos de l’auteur Tombée dans les fresques et les frasques historiques dès son plus jeune âge, Penny Watson Webb a grandi entourée de héros, depuis les Chevaliers de la Table Ronde jusqu’à Surcouf le corsaire, en passant par Ivanhoé. Elle aime la petite histoire qui fait la grande Histoire, et adore remettre en lumière des périodes ou un patrimoine oubliés. Maman de trois filles, elle tient à leur faire découvrir la richesse du passé tout en leur laissant la liberté de rêver.
« Non, vraiment, le sexe ce n’était pas pour elle… Une fois lui avait suffi et elle n’en gardait pas franchement un bon souvenir. Elle avait posé beaucoup de questions à Betty Ann, qui s’était montrée très loquace sur le sujet, sans que cela lui ait pour autant donné envie de renouveler l’expérience. Au fond, elle s’en souciait peu. Seule Lucy comptait. Être mère, ça, c’était la plus belle expérience de toute sa vie ! Elle avait souffert des heures durant pour la mettre au monde et ce combat si difficile avait rendu sa fille encore plus précieuse à ses yeux. Le lien qui les unissait était très fort et bien souvent, Texas pensait avec tristesse à tous les autres enfants qu’elle n’aurait jamais. Veuve, elle ne s’illusionnait pas sur son avenir sentimental. On n’épousait pas les filles comme elle ».
De temps en temps, cela fait plaisir de pouvoir lire une petite romance sans prise de tête et c’est le cas avec Pour porter ton nom de l'auteure Penny Watson-Webb (qui est française, comme son nom ne l'indique pas...).
175 pages
Synopsis :
1859, États-Unis. Lorsque Keir Macarthur découvre après le décès de son frère que ce dernier s’est marié et a eu une petite fille, il se promet de tout faire pour ramener l’enfant dans le clan des Macarthur : s’il n’a pu sauver son frère, hanté par les démons du jeu et de l’alcool, il veillera au bien-être de la petite Lucy. Pour ce faire, il se met en tête de prouver le manque de respectabilité de la mère, une certaine Texas. Car qui d’autre qu’une femme intéressée et de peu de vertu aurait pu épouser son frère ? Afin de mieux la cerner et l’observer, Keir invite Texas et sa fille à séjourner dans leur immense propriété. Sauf qu’à sa grande surprise, la jeune femme est très différente de ce qu’il avait imaginé… A propos de l’auteur Tombée dans les fresques et les frasques historiques dès son plus jeune âge, Penny Watson Webb a grandi entourée de héros, depuis les Chevaliers de la Table Ronde jusqu’à Surcouf le corsaire, en passant par Ivanhoé. Elle aime la petite histoire qui fait la grande Histoire, et adore remettre en lumière des périodes ou un patrimoine oubliés. Maman de trois filles, elle tient à leur faire découvrir la richesse du passé tout en leur laissant la liberté de rêver.
« Non, vraiment, le sexe ce n’était pas pour elle… Une fois lui avait suffi et elle n’en gardait pas franchement un bon souvenir. Elle avait posé beaucoup de questions à Betty Ann, qui s’était montrée très loquace sur le sujet, sans que cela lui ait pour autant donné envie de renouveler l’expérience. Au fond, elle s’en souciait peu. Seule Lucy comptait. Être mère, ça, c’était la plus belle expérience de toute sa vie ! Elle avait souffert des heures durant pour la mettre au monde et ce combat si difficile avait rendu sa fille encore plus précieuse à ses yeux. Le lien qui les unissait était très fort et bien souvent, Texas pensait avec tristesse à tous les autres enfants qu’elle n’aurait jamais. Veuve, elle ne s’illusionnait pas sur son avenir sentimental. On n’épousait pas les filles comme elle ».
De temps en temps, cela fait plaisir de pouvoir lire une petite romance sans prise de tête et c’est le cas avec Pour porter ton nom de l'auteure Penny Watson-Webb (qui est française, comme son nom ne l'indique pas...).