Les Editions Milady (2018)
Sortie originale 2017
480 pages
Synopsis :
Le traître Xcor a été condamné à mourir aux mains de la Confrérie de la dague noire. Pourtant, au terme d'une vie de crime et de malfaisance, un seul regret demeure : la perte de celle qui n'a jamais été sienne, l'Élue Layla. Celle-ci sait que la seule façon de sauver la vie de Xcor est de faire éclater la vérité sur ses origines. Mais cela signifie également s'exposer à perdre tout ce qui lui tient à coeur, y compris son rôle de mère... Déchirée entre l'amour et la loyauté, Layla doit trouver le courage d'affronter sa seule famille pour l'homme qu'elle aime. Et même si elle parvient à arracher le pardon de Xcor, un défi plus grand encore les attend : créer une alliance entre deux mondes que tout sépare...
« L’Élue Layla était à l’origine du grand changement qui s’était opéré en lui et lui avait fait modifier son regard sur la Confrérie, désormais passée de « cible » à « entité tolérable », « d’ennemi » à « habitant de ce monde avec lequel on pouvait cohabiter ». Depuis que Xcor avait fait sa connaissance, et en l’espace d’à peine dix-huit mois de fréquentation, elle avait eu davantage d’effet sur son âme noire que quiconque auparavant, et l’avait beaucoup fait progresser intérieurement, en moins de temps qu’il n’aurait cru possible ».
Oh Mon Dieu ! Cela fait quatre ans que j’attends la sortie de ce tome !!!! Depuis la première rencontre entre Xcor et Layla, j’ai tout de suite flashé sur leur couple et il me tardait vraiment d’enfin pouvoir lire le tome qui leur serait consacré, à savoir celui-ci : L’amant rebelle.
Alors que vous dire, à part qu’évidemment, c’est un gros coup de cœur pour moi ! L’attente fut longue mais en vue de la manière dont l’auteure américaine, JR Ward, a réussi à enfin réunir ce couple maudit séparé depuis si longtemps, et bien je dois vous dire que j’ai vraiment passé un excellent moment de lecture et je n’ai pas été du tout déçue du résultat !
Il faut quand même que je vous avoue quelque chose : J’ai lu ce livre en deux parties distinctes. Tout d’abord, je n’ai lu que les chapitres qui concernaient Xcor et Layla….Et quand enfin, je suis arrivée à la fin du livre et que j’ai été rassurée par l’issue positive de leur romance, ensuite, je suis revenue au début du livre pour lire les chapitres consacrés aux histoires annexes (Trez, Affhres etc), et relire une nouvelle fois les scènes concernant Xcor et Layla, je ne m'en lasse pas...
Pourquoi avoir fait cela ? Et bien pour deux raison : Premièrement, cela faisait quatre p*tains d’années que j’attendais la consécration de leur amour et du coup, maintenant que j’ai enfin le tome entre les mains, quand je commence à lire les scènes où ils se rapprochent et qu’au chapitre suivant, JR Ward aborde la vie d’autres personnages, je ne vous dis pas le niveau de ma frustration !!!!!!!
Et puis je voulais m’assurer que leur histoire se terminait bien, dans la mesure où JR Ward nous a déjà fait le coup d’histoires d’amour qui s’achèvent tragiquement avec la mort de l’un des deux amants (pas plus tard que dans le tome 13…). Donc, oui, il fallait que je sache absolument si leur couple allait se terminer en happy end….Après, seulement, j’ai repris mon livre dès le début et j’ai pu me concentrer sur les histoires secondaires….Mais déterminantes pour la suite de la saga, bien évidemment !…..
« Mais elle n’était plus une Élue à présent, et pas seulement parce que la Vierge scribe avait disparu. Car, quand on avait été au service d’autrui, quand on avait vécu une existence uniquement déterminée par autrui… on ne pouvait pas revenir à cette servitude une fois que l’on avait découvert qui on était réellement. Elle était désormais une mahmen. Elle était une amante. Elle était une femelle fière, une femelle forte, une femelle qui savait discerner le juste de l’injuste, la famille des étrangers, le bien du mal. Elle avait survécu à deux accouchements, venait juste de tenir tête à un frère, et se sentait prête à affronter le roi, s’il le fallait. Elle était faillible et risquait bien de se trouver désorientée, ou même de perdre pied de temps à autre. Mais elle survivrait. C’était ce que faisaient les forts ».
Ce que j’ai aimé dans ce livre
1#-La romance entre Xcor et Layla : Je crois que je n’avais pas ressenti cela depuis le tome consacré à Zadiste et Bella puisque c'était le même profil de mâle, le guerrier avait lui aussi des gros problèmes d’estime de soi, dus à son passé tragique, et repoussait sa femelle….En tout cas, dans ce tome 15, Layla, notre belle Elue va devoir y aller petit à petit pour apprivoiser le guerrier amoché par la vie. C’était vraiment très poignant à lire mais une fois que Xcor va ouvrir son cœur alors là, nous avons droit à ses sublimes phrases romantiques, ses promesses d’amour éternel. Ce qui m’a vraiment plu dans leur romance c’est que personne à la Confrérie ne croyait que Xcor pouvait être capable d’aimer et d’ailleurs, même Kolher va faire la moral à Layla en lui disant qu’elle s’est fait avoir et que Xcor n’avait fait que la manipuler pour arriver à ses fins (à savoir, atteindre la Confrérie pour sans doute, éliminer Kolher….Ce qui est normal que le roi pense cela puisque Xcor a déjà commis un attentat contre lui….). Mais voilà, dans l’univers créé par JR Ward, les mâles vampires, quand ils ont enfin trouvé l’amour de leur vie, leur Shellane, et bien ils diffusent une odeur d’union perceptible par tous…..Et du coup, ah bah, ils ont tous été étonnés, chacun leur tour, de sentir que Xcor diffusait cette odeur rien qu’à l’évocation de l’Elue et qu’il réagissait comme un mâle uni quand sa femelle était menacée….Mon Dieu que cette histoire d’amour est belle ! Ils sont comme deux « Romeo et Juliette » à la sauce vampire puisque faisant partie de deux camps adverses (et pire, Xcor est le leader des rebelles, l’homme à abattre !). Malgré le fait que celui-ci ne se sente pas aimable par une femelle, une Elue, qui plus est, Layla va lui prouver qu’il a, au contraire, le droit de connaître l’amour lui aussi….Et la fin du tome est géniale. Xcor va enfin connaître le bonheur dont il a été privé depuis sa naissance en 1731….
"L’amour est une question entre deux âmes, dit-elle en posant la main au centre de son torse. Notre amour est entre mon âme et la tienne. Rien ne changera cela, ni ton passé, ni notre présent… ni l’avenir que nous vivrons peut-être séparément. Du moins pas de mon côté. Il prit une profonde inspiration.
— J’ai envie de te croire.
— Ce n’est pas moi qu’il faut croire ou ne pas croire. C’est une loi universelle. Tu peux en débattre à loisir… ou alors te contenter d’en accepter la bénédiction.
— Mais si elle avait raison ?
— Qui ? Et si qui avait raison ? Xcor détourna le regard et concentra son attention sur leurs pieds nus.
— Ma nourrice m’a toujours répété que j’étais maudit. Que j’étais mauvais. Quand elle… (Il s’interrompit, peu désireux de s’étendre sur les corrections qu’il recevait enfant.) Elle me disait que j’étais pourri. Que mon visage ne faisait que révéler le mal en moi. Que la véritable infection était intérieure. Layla secoua la tête.
— Elle parlait d’elle-même, dans ce cas. Elle dévoilait sa propre vérité. Dire des choses pareilles à un enfant innocent ? Lui déformer l’esprit et le terroriser ainsi ? S’il existe une autre définition du mal et de la pourriture, je ne vois pas ce que c’est.
— Tu vois trop de bonté en moi.
— Mais c’est ce que tu m’as montré. Tu as toujours été bon avec moi".
"— Je l’ai obligé à avouer les sentiments qu’il avait pour moi. Je savais qu’il les éprouvait et… mais, oui, c’est à ce moment-là qu’il m’a jetée dehors.
— C’était il y a combien de temps ?
— Juste avant sa capture. Et je sais pourquoi il a tout arrêté entre nous. Il ne voulait pas paraître vulnérable vis-à-vis de moi. Kolher fronça les sourcils et croisa les bras sur sa poitrine.
— Allons, Layla, ne sois pas naïve. Tu n’as pas une seule fois envisagé que c’était plutôt parce qu’il avait enfin mobilisé assez de troupes et de renseignements pour lancer une offensive ici ?
— Je vous demande pardon ? Je ne vous suis pas.
— Xcor a œuvré activement avec la glymera pour forger des alliances contre moi. Avant et après m’avoir mis une balle dans la gorge. Elle émit un hoquet de stupeur et, en temps normal, il se serait arrêté. Mais quiconque refusait de voir la réalité en face le faisait à ses risques et périls.
— Si tu veux attaquer une forteresse comme la nôtre, il te faut des mois et des mois de surveillance et de préparation. Il te faut une armée bien équipée. Il faut rassembler des vivres et de l’équipement. Et tu prétends que tu n’as jamais songé, ne serait-ce qu’un instant, qu’il continuait à t’utiliser simplement pour gagner du temps ? Et qu’il t’a peut-être chassée tout bonnement parce qu’il était enfin prêt ?
La voix de Layla se fit stridente.
— Après m’avoir ordonné de partir, il était désorienté et contrarié, mais j’ai réfléchi à son comportement depuis. Je sais que les sentiments qu’il éprouve pour moi sont réels. Je l’ai regardé dans les yeux. J’ai vu son émotion.
— Ne te laisse pas abuser par ton romantisme, d’accord ? Surtout en matière de guerre. Ce salopard est un tueur de sang-froid et il s’est servi de toi. Tu es comme n’importe qui d’autre, pour lui. Tu es un outil pour lui permettre d’obtenir ce qu’il désire. Retire tes œillères, femelle, et redescends sur terre. Il y eut un long silence, pendant lequel il l’entendit presque réfléchir de toutes ses forces. Puis elle demanda d’une petite voix :
— Tout cela mis à part… qu’allez-vous faire de moi ?".
— C’était il y a combien de temps ?
— Juste avant sa capture. Et je sais pourquoi il a tout arrêté entre nous. Il ne voulait pas paraître vulnérable vis-à-vis de moi. Kolher fronça les sourcils et croisa les bras sur sa poitrine.
— Allons, Layla, ne sois pas naïve. Tu n’as pas une seule fois envisagé que c’était plutôt parce qu’il avait enfin mobilisé assez de troupes et de renseignements pour lancer une offensive ici ?
— Je vous demande pardon ? Je ne vous suis pas.
— Xcor a œuvré activement avec la glymera pour forger des alliances contre moi. Avant et après m’avoir mis une balle dans la gorge. Elle émit un hoquet de stupeur et, en temps normal, il se serait arrêté. Mais quiconque refusait de voir la réalité en face le faisait à ses risques et périls.
— Si tu veux attaquer une forteresse comme la nôtre, il te faut des mois et des mois de surveillance et de préparation. Il te faut une armée bien équipée. Il faut rassembler des vivres et de l’équipement. Et tu prétends que tu n’as jamais songé, ne serait-ce qu’un instant, qu’il continuait à t’utiliser simplement pour gagner du temps ? Et qu’il t’a peut-être chassée tout bonnement parce qu’il était enfin prêt ?
La voix de Layla se fit stridente.
— Après m’avoir ordonné de partir, il était désorienté et contrarié, mais j’ai réfléchi à son comportement depuis. Je sais que les sentiments qu’il éprouve pour moi sont réels. Je l’ai regardé dans les yeux. J’ai vu son émotion.
— Ne te laisse pas abuser par ton romantisme, d’accord ? Surtout en matière de guerre. Ce salopard est un tueur de sang-froid et il s’est servi de toi. Tu es comme n’importe qui d’autre, pour lui. Tu es un outil pour lui permettre d’obtenir ce qu’il désire. Retire tes œillères, femelle, et redescends sur terre. Il y eut un long silence, pendant lequel il l’entendit presque réfléchir de toutes ses forces. Puis elle demanda d’une petite voix :
— Tout cela mis à part… qu’allez-vous faire de moi ?".
"Vhif bondit sur lui, une botte de chaque côté de son torse. Puis le frère s’accroupit et hurla :
— Elle portait mes enfants ! Seigneur Dieu, tu aurais pu les tuer ! Xcor ferma les yeux pour repousser une image un peu trop nette à son goût de Layla et de son ventre proéminent, parce que la progéniture d’un autre mâle – de ce mâle-ci précisément – grandissait en elle. Puis des images pires encore se présentèrent à son esprit : celles de sa chair offerte au contact d’un autre, de sa précieuse intimité pénétrée par un autre que lui, d’une union entre elle et un autre mâle. Surgi de nulle part, un sursaut d’énergie anima soudain son corps, comme de l’essence affluant dans un moteur à sec. Instinctivement, il montra les crocs, ses canines descendirent d’elles-mêmes et son odeur d’union enfla en même temps que son agressivité dirigée contre une cible qu’il allait tuer à mains nues. Vhif écarquilla les narines, et se figea de stupéfaction.
— Tu te fous de moi… Tu t’es lié à elle ? (Le frère se mit à rire, la tête renversée en arrière, puis, brusquement, il mit un terme à son hilarité et sourit d’un air méprisant.) Eh bien, je l’ai servie quand elle a eu ses chaleurs. Réfléchis bien à cela, enfoiré. C’est moi qui l’ai prise et ai apaisé sa douleur comme seul un mâle… La sauvagerie enfouie dans chaque mâle vampire prit le contrôle de Xcor, et, après avoir arraché la fine pellicule de civilisation qui la maintenait endormie, elle dévoila le guerrier dans son sang, le tueur dans sa moelle. Xcor se releva d’un bond et fonça sur le frère de toutes ses forces. Empoignant Vhif, il les projeta tous deux contre l’autre mur d’étagères, qui s’écroula sous l’impact. Ce fut Vhif qui se retrouva sur le dos cette fois-ci, tandis que les coups pleuvaient de part et d’autre. Xcor était de loin le plus approximatif et le plus facilement maîtrisable des deux combattants, mais il bénéficiait du surcroît d’énergie que le lien procurait toujours aux mâles : ce besoin viscéral de protéger et de défendre, cette jalousie innée, cette possessivité écrasante lui donnaient la volonté vitale d’attaquer jusqu’à soumettre totalement son adversaire".
— Elle portait mes enfants ! Seigneur Dieu, tu aurais pu les tuer ! Xcor ferma les yeux pour repousser une image un peu trop nette à son goût de Layla et de son ventre proéminent, parce que la progéniture d’un autre mâle – de ce mâle-ci précisément – grandissait en elle. Puis des images pires encore se présentèrent à son esprit : celles de sa chair offerte au contact d’un autre, de sa précieuse intimité pénétrée par un autre que lui, d’une union entre elle et un autre mâle. Surgi de nulle part, un sursaut d’énergie anima soudain son corps, comme de l’essence affluant dans un moteur à sec. Instinctivement, il montra les crocs, ses canines descendirent d’elles-mêmes et son odeur d’union enfla en même temps que son agressivité dirigée contre une cible qu’il allait tuer à mains nues. Vhif écarquilla les narines, et se figea de stupéfaction.
— Tu te fous de moi… Tu t’es lié à elle ? (Le frère se mit à rire, la tête renversée en arrière, puis, brusquement, il mit un terme à son hilarité et sourit d’un air méprisant.) Eh bien, je l’ai servie quand elle a eu ses chaleurs. Réfléchis bien à cela, enfoiré. C’est moi qui l’ai prise et ai apaisé sa douleur comme seul un mâle… La sauvagerie enfouie dans chaque mâle vampire prit le contrôle de Xcor, et, après avoir arraché la fine pellicule de civilisation qui la maintenait endormie, elle dévoila le guerrier dans son sang, le tueur dans sa moelle. Xcor se releva d’un bond et fonça sur le frère de toutes ses forces. Empoignant Vhif, il les projeta tous deux contre l’autre mur d’étagères, qui s’écroula sous l’impact. Ce fut Vhif qui se retrouva sur le dos cette fois-ci, tandis que les coups pleuvaient de part et d’autre. Xcor était de loin le plus approximatif et le plus facilement maîtrisable des deux combattants, mais il bénéficiait du surcroît d’énergie que le lien procurait toujours aux mâles : ce besoin viscéral de protéger et de défendre, cette jalousie innée, cette possessivité écrasante lui donnaient la volonté vitale d’attaquer jusqu’à soumettre totalement son adversaire".
"— Promets-moi que tu iras de l’avant, exigea-t-il. Je ne pourrai pas être en paix tant que tu ne me l’auras pas juré. Elle se couvrit le visage de ses mains.
— J’ai l’impression de me briser en deux.
— Non, non, vois cela comme une nuit joyeuse. Cela faisait si longtemps que je voulais t’exprimer mes véritables sentiments, mais je n’en ai jamais eu l’occasion. Au début, parce que je les ai niés, ensuite, parce que j’ai lutté contre et t’ai éloignée de moi. Mais à présent que je vais quitter cette enveloppe charnelle je suis enfin libre… et, plus important encore, toi aussi. Il n’y avait aucune fin heureuse à espérer pour nous, Layla, mon amour. La Confrérie te pardonnera, car ses membres sont bons et justes, et ils savent que je suis le mal, et toi non. Tu continueras ta vie pour devenir la mahmen que tu es vouée à être, et tu trouveras un mâle digne de toi, je te le promets. Je ne suis rien d’autre qu’un obstacle à l’accomplissement de ton destin, que tu dois surmonter et laisser derrière toi. Tu iras de l’avant, mon amour, et je veillerai sur toi. Layla ouvrit la bouche pour parler, mais il fut pris d’une petite toux, grogna et se mit à frissonner.
— Xcor ? (Il prit une profonde inspiration et ferma à demi les paupières.) Je t’aime… Quand sa voix se tut, ce fut comme si toute sa force vitale s’échappait d’un seul coup de lui, comme si son enveloppe corporelle se dégonflait, drainée de son énergie".
— J’ai l’impression de me briser en deux.
— Non, non, vois cela comme une nuit joyeuse. Cela faisait si longtemps que je voulais t’exprimer mes véritables sentiments, mais je n’en ai jamais eu l’occasion. Au début, parce que je les ai niés, ensuite, parce que j’ai lutté contre et t’ai éloignée de moi. Mais à présent que je vais quitter cette enveloppe charnelle je suis enfin libre… et, plus important encore, toi aussi. Il n’y avait aucune fin heureuse à espérer pour nous, Layla, mon amour. La Confrérie te pardonnera, car ses membres sont bons et justes, et ils savent que je suis le mal, et toi non. Tu continueras ta vie pour devenir la mahmen que tu es vouée à être, et tu trouveras un mâle digne de toi, je te le promets. Je ne suis rien d’autre qu’un obstacle à l’accomplissement de ton destin, que tu dois surmonter et laisser derrière toi. Tu iras de l’avant, mon amour, et je veillerai sur toi. Layla ouvrit la bouche pour parler, mais il fut pris d’une petite toux, grogna et se mit à frissonner.
— Xcor ? (Il prit une profonde inspiration et ferma à demi les paupières.) Je t’aime… Quand sa voix se tut, ce fut comme si toute sa force vitale s’échappait d’un seul coup de lui, comme si son enveloppe corporelle se dégonflait, drainée de son énergie".
2#-Le caractère déterminé et affirmé de Layla : Notre jolie blonde a su prouver à tous ces mâles que les Elues ne sont pas que de belles plantes qui ne servent qu’à nourrir les guerriers de leur sang sacré pour les guérir. Même s’il y a beaucoup de femmes de caractère dans cette saga, la plupart des personnages masculins sont quand même hyper machos (sauf avec leur femelle) et c’était vraiment dur de voir comment certains ont vraiment mis Layla plus bas que terre….Et pourtant, Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Layla ne va pas hésiter à dire ses quatre vérités à Vhif et à Tohr qui souhaitent tous les deux tuer Xcor (pour des raisons différentes). Layla a montré les crocs plus d’une fois pour défendre son mâle (et même ses enfants) et c’était vraiment très plaisant à lire !
"Tohr lui montra les crocs.
— Écoute-moi, et écoute-moi bien, car je ne le répéterai pas. Tu es peut-être une Élue, et tu peux déambuler dans ta robe blanche avec tes airs de sainte-nitouche autant que tu veux, tu ne participes pas à cette guerre. Ça n’a jamais été le cas, et ça ne le sera jamais. Alors rentre chez toi, retourne sur ton mur picorer du pain dur, parce que rien de ce que tu pourras dire ne me fera changer d’avis ni de trajectoire. Tu n’es pas si importante à mes yeux, femelle et, surtout, ce statut pour lequel tu exiges le respect est loin d’être essentiel à la survie de l’espèce. À ces mots, une fureur décuplée inonda les veines de Layla.
— Espèce de vantard sexiste. Waouh ! Est-ce qu’Automne sait à quel point tu peux être condescendant ? ou est-ce que tu le lui caches pour qu’elle continue de dormir avec toi pendant la journée ?
— Appelle ça comme tu veux. Colle-moi l’étiquette de ton choix. Mais entre toi et moi il n’y a qu’une personne qui sache vraiment de quoi je parle. Layla cligna plusieurs fois des yeux, sous le coup de l’incrédulité. Elle soupçonnait que la direction qu’elle allait prendre n’était sans doute pas la meilleure. Mais c’était lui qui avait mis ses « couilles » dans le débat.
— Je sais comment était ta première shellane. Lorsque le sang quitta le visage de Tohr, elle poursuivit :
— Alors que tu m’enfermes dans une case à cause de mes ovaires, tu devrais te demander, ne serait-ce qu’un moment, comment Wellsie aurait réagi si elle t’avait entendu dire une chose pareille à une femelle. Je suis convaincue qu’elle aurait été très déçue. Tandis qu’il assimilait ses paroles, le frère parut enfler sous ses yeux, son corps gagnant en taille, en force et en masse au point de ressembler à un monstre mortel. Il serra les poings et, quand il les leva, son visage était déformé en un masque de violence absolue. D’une voix tremblante, il dit :
— Il faut que tu partes. Tu dois partir sur-le-champ. Je n’ai jamais frappé de femelle avant, et je ne commencerai pas ce soir.
— Je n’ai pas peur de toi. Je n’ai peur de rien. (Elle leva le menton.) Quand il s’agit de protéger la vie de mes enfants et du mâle que j’aime, je m’opposerai autant qu’il le faudra à leur destin, même si cela doit me coûter la vie, et, si tu me bats à mort pour cette raison, je reviendrai d’entre les morts pour te hanter jusqu’à te rendre fou. Rien de ce que tu pourras faire ne me fera reculer. Rien. Pendant un instant, le mâle parut si stupéfait qu’il fut incapable de parler. Et elle comprenait pourquoi. Elle se tenait là, affrontant le genre de mâle le plus redoutable de l’espèce, un tueur entraîné et armé, qui faisait au moins quatre-vingts kilos de plus qu’elle… et elle ne tremblait même pas. Oui, se dit-elle. Celle qui s’était toujours sentie un peu perdue avait enfin trouvé sa position et sa voix. Et il s’avérait que celles-ci appartenaient toutes deux à une lionne. Tohr secoua la tête.
— Tu es dingue. Tu es vraiment… totalement barrée, tu le sais. Tu es prête à sacrifier tes enfants, ta famille de cœur, ton foyer, ta relation avec Vhif et Blay, ton roi – tous ceux qui ont été là pour toi –, tout ça pour un mâle qui a commis un crime de guerre, qui, au passage, est sans doute la moins affreuses des actions qu’il ait commises au cours de sa vie. Donc, très bien, tu veux savoir ce que ma Wellsie penserait de tout ça ? Je vais te le dire. Elle dirait que tu es une traîtresse, et que tu ne devrais jamais revoir tes enfants parce que, la première chose à faire avec des enfants, c’est les protéger du mal. Très bien. Elle en avait assez de fonder son argumentation sur des hypothèses.
— Je te préviens tout de suite, Tohrment, tu vas devoir t’interroger sérieusement sur ce que tu es réellement en train de faire. (Layla secoua la tête.) Parce que tu es en train de te dévoyer. Tu veux parler de trahison ? Je suis certaine que Kolher est revenu annoncer à la Confrérie qu’il désirait faire la paix avec Xcor et la bande de salopards. Mais tu ne suis plus les ordres, hein ? Est-ce que ça fait aussi de toi un traître ? Je pense que oui. Alors peut-être qu’on devrait se trouver des bracelets d’amitié, toi et moi.
— Va te faire foutre, Layla. J’espère que tu aimes ta vie avec ton enfoiré. Parce que je suppose, après avoir entendu toutes tes belles déclarations de principes, que tu vas l’accompagner dans l’Ancienne Contrée… s’il vit assez longtemps pour faire le voyage. Ouais, une femelle comme toi préférera toujours abandonner ses enfants pour partir avec son amant. Et tu sais quoi ? Ce sera sans doute la seule fois de ma vie où j’estimerai que la désertion d’un parent est une excellente idée.
— Reste loin de Xcor.
— Tu n’es pas en position de me donner des ordres, femelle. (Il éclata d’un rire dur.) Seigneur Dieu ! je n’arrive pas à croire qu’on se dispute pour un type comme lui. Après tout, qui c’est ce tas de merde…
— C’est ton frère, putain ! hurla-t-elle. Voilà qui il est".
— Écoute-moi, et écoute-moi bien, car je ne le répéterai pas. Tu es peut-être une Élue, et tu peux déambuler dans ta robe blanche avec tes airs de sainte-nitouche autant que tu veux, tu ne participes pas à cette guerre. Ça n’a jamais été le cas, et ça ne le sera jamais. Alors rentre chez toi, retourne sur ton mur picorer du pain dur, parce que rien de ce que tu pourras dire ne me fera changer d’avis ni de trajectoire. Tu n’es pas si importante à mes yeux, femelle et, surtout, ce statut pour lequel tu exiges le respect est loin d’être essentiel à la survie de l’espèce. À ces mots, une fureur décuplée inonda les veines de Layla.
— Espèce de vantard sexiste. Waouh ! Est-ce qu’Automne sait à quel point tu peux être condescendant ? ou est-ce que tu le lui caches pour qu’elle continue de dormir avec toi pendant la journée ?
— Appelle ça comme tu veux. Colle-moi l’étiquette de ton choix. Mais entre toi et moi il n’y a qu’une personne qui sache vraiment de quoi je parle. Layla cligna plusieurs fois des yeux, sous le coup de l’incrédulité. Elle soupçonnait que la direction qu’elle allait prendre n’était sans doute pas la meilleure. Mais c’était lui qui avait mis ses « couilles » dans le débat.
— Je sais comment était ta première shellane. Lorsque le sang quitta le visage de Tohr, elle poursuivit :
— Alors que tu m’enfermes dans une case à cause de mes ovaires, tu devrais te demander, ne serait-ce qu’un moment, comment Wellsie aurait réagi si elle t’avait entendu dire une chose pareille à une femelle. Je suis convaincue qu’elle aurait été très déçue. Tandis qu’il assimilait ses paroles, le frère parut enfler sous ses yeux, son corps gagnant en taille, en force et en masse au point de ressembler à un monstre mortel. Il serra les poings et, quand il les leva, son visage était déformé en un masque de violence absolue. D’une voix tremblante, il dit :
— Il faut que tu partes. Tu dois partir sur-le-champ. Je n’ai jamais frappé de femelle avant, et je ne commencerai pas ce soir.
— Je n’ai pas peur de toi. Je n’ai peur de rien. (Elle leva le menton.) Quand il s’agit de protéger la vie de mes enfants et du mâle que j’aime, je m’opposerai autant qu’il le faudra à leur destin, même si cela doit me coûter la vie, et, si tu me bats à mort pour cette raison, je reviendrai d’entre les morts pour te hanter jusqu’à te rendre fou. Rien de ce que tu pourras faire ne me fera reculer. Rien. Pendant un instant, le mâle parut si stupéfait qu’il fut incapable de parler. Et elle comprenait pourquoi. Elle se tenait là, affrontant le genre de mâle le plus redoutable de l’espèce, un tueur entraîné et armé, qui faisait au moins quatre-vingts kilos de plus qu’elle… et elle ne tremblait même pas. Oui, se dit-elle. Celle qui s’était toujours sentie un peu perdue avait enfin trouvé sa position et sa voix. Et il s’avérait que celles-ci appartenaient toutes deux à une lionne. Tohr secoua la tête.
— Tu es dingue. Tu es vraiment… totalement barrée, tu le sais. Tu es prête à sacrifier tes enfants, ta famille de cœur, ton foyer, ta relation avec Vhif et Blay, ton roi – tous ceux qui ont été là pour toi –, tout ça pour un mâle qui a commis un crime de guerre, qui, au passage, est sans doute la moins affreuses des actions qu’il ait commises au cours de sa vie. Donc, très bien, tu veux savoir ce que ma Wellsie penserait de tout ça ? Je vais te le dire. Elle dirait que tu es une traîtresse, et que tu ne devrais jamais revoir tes enfants parce que, la première chose à faire avec des enfants, c’est les protéger du mal. Très bien. Elle en avait assez de fonder son argumentation sur des hypothèses.
— Je te préviens tout de suite, Tohrment, tu vas devoir t’interroger sérieusement sur ce que tu es réellement en train de faire. (Layla secoua la tête.) Parce que tu es en train de te dévoyer. Tu veux parler de trahison ? Je suis certaine que Kolher est revenu annoncer à la Confrérie qu’il désirait faire la paix avec Xcor et la bande de salopards. Mais tu ne suis plus les ordres, hein ? Est-ce que ça fait aussi de toi un traître ? Je pense que oui. Alors peut-être qu’on devrait se trouver des bracelets d’amitié, toi et moi.
— Va te faire foutre, Layla. J’espère que tu aimes ta vie avec ton enfoiré. Parce que je suppose, après avoir entendu toutes tes belles déclarations de principes, que tu vas l’accompagner dans l’Ancienne Contrée… s’il vit assez longtemps pour faire le voyage. Ouais, une femelle comme toi préférera toujours abandonner ses enfants pour partir avec son amant. Et tu sais quoi ? Ce sera sans doute la seule fois de ma vie où j’estimerai que la désertion d’un parent est une excellente idée.
— Reste loin de Xcor.
— Tu n’es pas en position de me donner des ordres, femelle. (Il éclata d’un rire dur.) Seigneur Dieu ! je n’arrive pas à croire qu’on se dispute pour un type comme lui. Après tout, qui c’est ce tas de merde…
— C’est ton frère, putain ! hurla-t-elle. Voilà qui il est".
3#-La noblesse d’âme de Xcor : Nous, lecteurs, savons que Xcor n’est pas si mauvais que cela et qu’il a énormément évolué depuis sa rencontre avec Layla. Malheureusement, les guerriers de la Confrérie l’ignorent au début du livre et comme Xcor n’est pas le genre à se vanter, à reporter la faute sur les autres mais qu’au contraire, il assume tout, (et même les erreurs des autres) la tête haute. J’ai vraiment adoré la manière dont l’auteure va amener les frères à réaliser que Xcor n’est pas bien différent d’eux et qu’ils partagent les mêmes valeurs….Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Déjà, il y a Kolher, qui, le premier, va accorder son pardon à Xcor. En tant que roi, le message est fort (même si certains vont y rester sourds, je pense notamment à ces deux imbéciles de Tohr et Vhif…). Oui, Xcor a sauvé Torh plusieurs mois auparavant, des tirs d’un éradiqueur, non, Xcor ne va pas dire à Kolher que c’est Vhif et Torh qui lui ont tiré dessus (malgré les ordres contraires du roi)….Xcor est un mâle de principes malgré son éducation limite où il a grandi comme un chien (littéralement, puisque sa nourrice l’enchaînait dans le jardin, la nuit, jusqu’à ses 9 ans, jusqu’à ce qu’elle parte et l’abandonne….A ce propos, je suppose que cette nourrice était en fait sa mère, puisque Dhouleur, son géniteur, avait menacé la femelle si jamais Xcor mourrait….Et celle-ci semblait tellement heureuse de pouvoir abandonner Xcor derrière elle une fois qu’elle a appris que Dhouleur avait enfin eu un fils avec une autre femelle et la libérait de sa tâche…Le nouveau bébé qui n’était autre que Torh, du coup, on le comprend par la suite…). Bref, Xcor est un mec bien, il a des principes et c’est sans doute pour cela que sa bande de Salopards lui obéit et lui reste fidèle….D’ailleurs, à ce propos, je suppose que JR Ward va écrire des histoires à propos de ces nouveaux guerriers, non ?....La saga n’est pas prête de s’arrêter, je le sens !
"— Elle a perdu ses droits ! Elle a nourri l’ennemi.
— Si c’est à ce point-là un ennemi, pourquoi Xcor a-t-il laissé la clé derrière lui ? — Quoi ? Kolher tendit l’index en direction de la porte.
— Xcor t’a enfermé mais a déposé la clé par terre. Pourquoi a-t-il fait ça ?
— J’en sais foutre rien !
— Ouais, et on ne peut plus lui poser la question à présent, hein ? répliqua Kolher. Vhif secoua la tête.
— C’est toujours notre ennemi. Il sera toujours notre putain d’ennemi. Je me fous de ce qu’il dit. Les sourcils noirs de Kolher disparurent de nouveau derrière ses verres fumés.
— Alors qu’est-ce qu’il t’a dit ?
— Rien. Il n’a pas dit un mot. (Vhif montra les crocs.) Et ne t’inquiète pas, je le ramènerai. Je vais traquer cet enfoiré et…
— Certainement pas. Je te suspends du service actif, avec effet immédiat.
— Quoi ! Cette fois-ci, le mâle réussit à se lever, même s’il avait l’impression qu’il allait gerber vert sur le roi, comme dans L’Exorciste.
— C’est des conneries !
— Tu dérailles complètement, et je ne peux tolérer ça. Maintenant, comporte-toi comme un bon petit sociopathe et ferme ta gueule pendant qu’on t’emmène te faire soigner".
"V. intervint :
— Pour info, je te ferai savoir que, si tu es en vie aujourd’hui, c’est grâce à lui. Cela attira l’attention de Tohr, qui se tourna vers Viszs.
— Je te demande pardon ?
— J’ai découvert une petite vidéo de cet enfoiré ici présent, en train de te défendre contre un éradiqueur. Un grand classique. Je l’ai regardée en boucle pendant des heures aujourd’hui.
— Attends, quoi ?
— Tu te rappelles, la fois où tu as essayé de te transformer en passoire en marchant sous une pluie de balles ? Le bon vieux temps. (V. leva les yeux au ciel.) Tiens, j’ai une idée. Et si tu l’ajoutais en ami sur Facebook, pour attendre avec impatience le jour où tu auras une publication souvenir en commun avec lui. Génial, quelle putain de situation touchante. Maintenant, soit tu le désarmes, soit tu reprends ta position. Tohr savait exactement à quel coup de folie V. faisait référence ; il se rappelait précisément le moment où il avait ignoré sa propre mortalité et toutes les lois de la physique pour se précipiter sous le feu de l’ennemi. Fronçant les sourcils, il demanda à Xcor :
— C’est vrai ? (Quand le salopard hocha la tête, il poussa un soupir.) Pourquoi ? — Ce n’est pas important maintenant, répondit-il.
— Non, au contraire. Pourquoi ? Xcor regarda V. comme s’il essayait de deviner si le frère allait complètement perdre patience à cause de toute cette histoire. Trop tard, se dit Tohrment. Mais putain ! il n’aurait peut-être plus jamais l’occasion de connaître les motivations du mâle.
— Pourquoi ? répéta-t-il. Nous étions ennemis. Quand Xcor finit par répondre, sa voix était ferme et lourdement accentuée.
— Tu t’es montré si brave. Tu es allé au feu sans peur. Indépendamment de nos dissensions à cette époque, je ne voulais pas qu’un guerrier doté d’un tel courage soit tué de cette façon. Dans une bataille à la loyale, d’accord. Mais pas comme ça, à la manière d’un pigeon d’argile. Donc j’ai tiré sur le tireur. Tohr cligna des yeux et songea à tout ce qu’il aurait raté s’il était mort cette nuit-là. Automne. L’occasion de participer à cette paix négociée. L’avenir. Du coin de l’œil, il vit quelque chose bouger… Non, ce n’était que Lassiter. L’ange déchu s’était pointé, ce qui n’était pas une surprise. Il ressemblait à un voisin curieux qui regardait par-dessus sa clôture dès qu’il y avait du spectacle en perspective. Il se concentra de nouveau sur les prunelles bleu marine de Xcor, si semblables aux siennes. Puis il baissa l’une de ses armes et rangea l’autre dans son holster. Puis il lui tendit la paume. Xcor la contempla. Au bout d’un long moment, le salopard accepta de la prendre… et les deux frères se serrèrent la main pour la première fois. Sauf qu’un seul d’entre eux était au courant de leur lien de parenté".
"— Il faut qu’on parle.
— Ah bon ? (Le frère se contenta de lui jeter un coup d’œil par-dessus son épaule.) Est-ce que tu l’as tué ?
— Non, mais je viens de me faire virer de la Confrérie. Vhif se redressa et se retourna.
— Quoi ?
— Kolher a eu raison de le faire.
— Attends, alors Xcor a couru comme un froussard dans les jupes du roi et…
— Il a menti. Pour toi et moi. Xcor a refusé de nous livrer. Il a refusé de dire à Kolher ce qu’on avait fait.
— Ouais, quel putain de héros ! (Le mâle fronça les sourcils.) Mais s’il n’a pas craché le morceau qui l’a fait alors ?
— Layla a compris. Elle est venue me trouver ; elle a vu qu’il était blessé et ne l’a pas cru quand il a affirmé qu’il s’agissait d’éradiqueurs. Je n’ai pas nié.
— Ah oui ! cette Élue parangon de toutes les vertus. (Vhif se concentra de nouveau sur les enfants.) Mais à quel point est-elle réglo, hein ? Elle voudra toujours défendre son mec. Dommage que ce genre de loyauté n’aille pas dans notre direction. Tohr secoua la tête.
— Ne fais pas ça, Vhif. Je suis peut-être hors jeu, mais, toi, tu seras là demain soir.
— Demain soir ? Il se passe quoi ?
— La Confrérie et la bande de salopards vont se rencontrer. Tu en entendras parler à la première heure après le coucher du soleil demain. Kolher va réunir les frères et vous emmener les rencontrer pour que vous assistiez à leur prestation de serment envers Xcor".
4#-Les scènes sensuelles entre Layla et Xcor : AAAArgh ! Je les attendais ces moments-là, je peux vous le dire ! Si Xcor a souvent été décrit comme un sauvage, nous constatons dans ce tome qu’il est doux et respectueux envers Layla dont il se demande encore comment une telle femelle remarquable et exceptionnelle ait pu tomber amoureuse de lui….Notre jolie blonde est très audacieuse dans ce tome, comprenant que Xcor la respecte trop pour se laisser aller....Et comme Layla, même si elle n'a pas beaucoup d'expérience, a été élevée en tant qu'Elue pour satisfaire les mâles (enfin, le Primâle, à l'origine), du coup, elle sait comment mettre le feu à Xcor et y arrive très bien, la coquine ! Je crois que je pourrais relire ces passages les concernant des centaines de fois sans me lasser ! (oui, bon, je ne vais pas le faire, rassurez-vous, c’est juste une façon de parler !...Encore que...Bon, enfin bref....).
"Avec des gestes lents, Xcor s’allongea sur elle, précautionneusement cette fois-ci, en soutenant son poids tout le long de la manœuvre. Et la sensation de son sexe en érection derrière l’épaisseur du pantalon de jogging la poussa à onduler du bassin pour frotter son intimité contre lui. Quand il l’embrassa de nouveau, et que sa langue s’insinua dans sa bouche pour caresser la sienne, elle lui griffa le dos de ses ongles. Elle ne pouvait pas attendre plus longtemps, son sexe brûlait de le recevoir, son corps se tendait d’impatience à la perspective de toucher au but et d’être enfin uni au sien.
— Maintenant, supplia-t-elle. S’il te plaît… Une des mains de Xcor disparut entre eux, et elle poussa un cri lorsqu’il glissa sa paume tiède à l’intérieur de sa cuisse. Puis il se mit à la toucher là où son sexe était le plus brûlant. Elle était absolument prête pour l’accueillir en elle, et pourtant l’orgasme qui s’empara d’elle fut une surprise inattendue : le plaisir se répercuta à travers tout son corps, lui donnant l’impression de flotter au-dessus du lit alors même qu’elle demeurait où elle était. Il l’aida à supporter l’explosion de ses sens jusqu’à ce que la vague reflue, puis souleva le bas du corps. Layla perçut un mouvement au niveau de ses hanches et son excitation redoubla quand elle sentit enfin le contact de sa peau contre la sienne, parce que son sexe n’était plus entravé. Sauf que, lorsqu’il plaqua de nouveau le bassin contre le sien, il portait toujours son pantalon. Mais son sexe avait été dégagé. Et elle papillota quand son gland l’effleura.
— J’essaie d’y aller doucement, dit-il, les dents serrées.
— Ce n’est pas nécessaire. Sur ce, elle plongea les mains entre ses cuisses, trouva son sexe épais et dur et l’attira contre le sien. Enfonçant les talons dans la couette, elle se cambra une nouvelle fois… Il glissa en elle et s’y nicha à la perfection. La sensation était à la fois intimement charnelle et incroyablement cosmique, et elle la submergea totalement. Des larmes lui montèrent aux yeux… parce qu’elle savait qu’il ressentait la même chose qu’elle : Xcor jouit à la seconde où il fut complètement en elle, et commença à éjaculer abondamment. Cependant, il releva la tête dans un sursaut, et son visage exprima l’inquiétude, alors même que son corps jouissait encore.
— T’ai-je blessée ? demanda-t-il, horrifié.
— Quoi ? — Tu pleures !
— Que… oh ! non, non, non… (Elle lui prit le visage et l’embrassa.) Non… je ne pleure pas de douleur. Jamais. Elle lui donna un nouveau baiser et tenta de susciter un rythme de friction entre leurs corps. Mais il ne l’entendait pas de cette oreille.
— Pourquoi pleures-tu ? demanda-t-il, les deux bras tendus pour maintenir son buste au-dessus d’elle. Layla s’essuya les yeux d’un geste impatient.
— Parce que… je n’aurais jamais songé t’avoir un jour de cette façon. Je ne pensais pas… je ne pensais pas que cela arriverait pour nous, et je suis si heureuse. Cette attente, cette douleur ont été si longues. Xcor descendit un peu le buste et s’appuya sur ses coudes.
— C’était pareil pour moi, murmura-t-il. Au cours de ma vie, j’ai appris que les rêves ne deviennent jamais réalité. Seuls les cauchemars se réalisent dans la vraie vie. Je ne nourrissais aucun réel espoir que notre amour l’emporte. Comme une lueur hagarde passait dans son regard, elle se demanda quelles horreurs il avait vues au cours de sa dure vie. Quelles horreurs on lui avait infligées. Sa lèvre déformée n’avait pas dû être un défaut facile à porter".
— Maintenant, supplia-t-elle. S’il te plaît… Une des mains de Xcor disparut entre eux, et elle poussa un cri lorsqu’il glissa sa paume tiède à l’intérieur de sa cuisse. Puis il se mit à la toucher là où son sexe était le plus brûlant. Elle était absolument prête pour l’accueillir en elle, et pourtant l’orgasme qui s’empara d’elle fut une surprise inattendue : le plaisir se répercuta à travers tout son corps, lui donnant l’impression de flotter au-dessus du lit alors même qu’elle demeurait où elle était. Il l’aida à supporter l’explosion de ses sens jusqu’à ce que la vague reflue, puis souleva le bas du corps. Layla perçut un mouvement au niveau de ses hanches et son excitation redoubla quand elle sentit enfin le contact de sa peau contre la sienne, parce que son sexe n’était plus entravé. Sauf que, lorsqu’il plaqua de nouveau le bassin contre le sien, il portait toujours son pantalon. Mais son sexe avait été dégagé. Et elle papillota quand son gland l’effleura.
— J’essaie d’y aller doucement, dit-il, les dents serrées.
— Ce n’est pas nécessaire. Sur ce, elle plongea les mains entre ses cuisses, trouva son sexe épais et dur et l’attira contre le sien. Enfonçant les talons dans la couette, elle se cambra une nouvelle fois… Il glissa en elle et s’y nicha à la perfection. La sensation était à la fois intimement charnelle et incroyablement cosmique, et elle la submergea totalement. Des larmes lui montèrent aux yeux… parce qu’elle savait qu’il ressentait la même chose qu’elle : Xcor jouit à la seconde où il fut complètement en elle, et commença à éjaculer abondamment. Cependant, il releva la tête dans un sursaut, et son visage exprima l’inquiétude, alors même que son corps jouissait encore.
— T’ai-je blessée ? demanda-t-il, horrifié.
— Quoi ? — Tu pleures !
— Que… oh ! non, non, non… (Elle lui prit le visage et l’embrassa.) Non… je ne pleure pas de douleur. Jamais. Elle lui donna un nouveau baiser et tenta de susciter un rythme de friction entre leurs corps. Mais il ne l’entendait pas de cette oreille.
— Pourquoi pleures-tu ? demanda-t-il, les deux bras tendus pour maintenir son buste au-dessus d’elle. Layla s’essuya les yeux d’un geste impatient.
— Parce que… je n’aurais jamais songé t’avoir un jour de cette façon. Je ne pensais pas… je ne pensais pas que cela arriverait pour nous, et je suis si heureuse. Cette attente, cette douleur ont été si longues. Xcor descendit un peu le buste et s’appuya sur ses coudes.
— C’était pareil pour moi, murmura-t-il. Au cours de ma vie, j’ai appris que les rêves ne deviennent jamais réalité. Seuls les cauchemars se réalisent dans la vraie vie. Je ne nourrissais aucun réel espoir que notre amour l’emporte. Comme une lueur hagarde passait dans son regard, elle se demanda quelles horreurs il avait vues au cours de sa dure vie. Quelles horreurs on lui avait infligées. Sa lèvre déformée n’avait pas dû être un défaut facile à porter".
"Xcor sentit la présence de Layla à l’instant où elle apparut sur le seuil de la salle de bains, et, quand il se retourna pour la regarder, il faillit tomber à genoux. Elle était magnifiquement nue, avec ses seins haut perchés aux tétons roses, ses hanches ravissantes, ses longues jambes et son sexe parfait offerts à son seul regard. Son pénis se durcit immédiatement. Mais il le lui dissimula. Ils avaient beau avoir fait l’amour toute la journée, il plaqua l’organe contre son ventre et l’y maintint des deux mains. Elle marcha silencieusement sur le sol de marbre, et ouvrit la porte vitrée pour le rejoindre. Les yeux de la femelle se posèrent sur l’endroit où se trouvaient ses paumes.
— Pourquoi refuses-tu de te montrer nu devant moi ? En effet, il avait gardé ses vêtements toute la journée, se contentant de baisser son pantalon pour la pénétrer, puis de le tirer de nouveau sur ses hanches lorsqu’il l’avait serrée dans ses bras après l’amour.
— Xcor ? murmura-t-elle tandis que la vapeur s’élevait en volutes autour d’elle, faisant scintiller sa peau de milliers de gouttelettes d’eau. Pourquoi refuses-tu que je te voie ? Secouant la tête, il préféra ne rien dire. Lui exprimer à quel point il était douloureux qu’elle pose les yeux sur sa chair était tout simplement trop difficile. Elle n’avait jamais semblé rebutée par sa difformité, n’avait jamais paru la remarquer ni le tenir en moins haute estime à cause de ça ; néanmoins, les vêtements formaient comme un masque qu’il préférait porter en sa présence. Il en avait été différemment quand il avait souhaité la repousser, quand il avait cherché à la défier en exposant sa laideur, dans l’espoir qu’elle se détourne de lui et cesse de les torturer tous les deux. Mais à présent… On l’avait rejeté toute sa vie. Mais aucun de ses précédents abandons ne le ferait jamais autant souffrir que si elle lui tournait le dos à présent… Layla s’agenouilla avec la grâce d’un rayon de lune tombant des cieux. Et son premier élan fut de l’aider à se relever, car il n’aimait pas l’idée qu’elle touche le carrelage dur. Pourtant, lorsqu’il fit mine de se pencher, elle l’arrêta. Puis elle inclina la tête vers les mains du mâle. Tendit la langue… … et lui lécha lentement le majeur droit. Sa langue était aussi glissante que de l’eau, et aussi douce que du velours. Et il s’effondra contre le mur de la douche. Layla garda les yeux rivés sur son corps tandis qu’elle répétait son geste… avant d’aspirer son doigt dans sa bouche. Ensuite, elle entreprit de le lécher en effectuant de petits cercles avec sa langue, de plus en plus chauds, comme son intimité…
— Layla, supplia-t-il. Un à un, elle lui suçota chacun de ses doigts, lui faisant lâcher prise sur son érection, l’affaiblissant tellement que ses mains s’écartèrent de son sexe, non parce qu’il le leur avait ordonné, mais parce qu’il n’avait plus assez de force dans les bras pour agir autrement. Libéré de ses paumes, son pénis saillit immédiatement de ses hanches, et l’eau de la douche fit reluire le fier organe. Dieux ! il voulait qu’elle fasse ce qu’elle était sur le point d’accomplir, il mourait d’envie de sentir ses lèvres sur son gland, sa queue, désirait cette succion et…
— Merde ! grogna-t-il quand elle le captura dans sa bouche. Elle ne prit pas tout ce qu’il avait à offrir. Elle se concentra sur son extrémité, le taquinant de ses lèvres, puis s’arrêtant, avant de recommencer à l’embrasser… et, juste au moment où il se dit qu’il allait perdre la tête, elle tira la langue et lui lécha tout le pourtour du gland lentement, oh ! si lentement. Et durant tout ce temps ses prunelles vertes étaient rivées aux siennes, et l’eau tombait sur elle, ruisselant sur ses tétons, dégoulinant sur son ventre, avant de disparaître entre ses cuisses ouvertes. Xcor fit crisser ses paumes contre la paroi vitrée tandis qu’il tentait de se retenir à quelque chose pour rester debout, puis il finit par trouver une sorte d’appui sur le mur de marbre.
— Oh ! mon Dieu, Layla… (Il dut fermer les paupières.) C’est trop… Mais elle ne s’arrêta pas. Elle finit par l’aspirer tout entier dans sa bouche, alors même qu’il devait la remplir jusqu’au fond de la gorge. Il fallait qu’il regarde. Et, à la seconde où il aperçut ses lèvres étirées autour de son pénis en érection, il se mit à jouir.
— Je… Oh ! merde… Alors même qu’il tentait de la repousser, juste au cas où elle ignorerait ce qui était en train d’arriver, elle ne le laissa pas faire. Elle trouva un rythme de succion et reçut son orgasme dans la bouche tandis qu’elle glissait les mains entre ses jambes pour presser ses testicules. Xcor finit par terre. Littéralement. Les muscles de ses cuisses cédèrent, et il ne put que s’empêcher de tomber n’importe comment et de l’écraser. Et elle ne cessa pas de lui donner du plaisir, alors même qu’elle s’adaptait au changement de posture du mâle, l’entraînant dans un nouvel orgasme juste après le premier tandis qu’il écartait largement les jambes pour faciliter les mouvements de la femelle tout en caressant ses cheveux mouillés, la tête et la nuque écrasées dans un coin de la cabine. Quand elle s’arrêta enfin, elle se redressa et se lécha les lèvres. Pendant ce temps, il ne put que reprendre son souffle et la contempler en dodelinant de la tête, les bras en croix, tandis que la douche l’arrosait d’une pluie tiède comme s’il était une pierre dans la forêt.
— J’ai envie de te faire la même chose, dit-il d’une voix rauque. Elle se redressa sur ses talons et lui sourit.
— Vraiment ? Il opina. Comme un idiot. — Tu sembles un peu fatigué, guerrier, murmura-t-elle. T’aurais-je épuisé ? Xcor s’apprêtait à nier, lorsqu’elle s’assit dans le coin opposé, imitant sa posture. Et tout en baissant à demi les paupières elle remonta les genoux… avant de les écarter, lui offrant une vue époustouflante.
— Que me ferais-tu ? demanda-t-elle d’une voix lente. Tu m’embrasserais ici ? Elle fit glisser sa main fine le long de sa gorge. Et quand il branla du chef comme un abruti elle sourit.
— Ici… ? Ses doigts étaient à présent posés sur sa clavicule, et il hocha encore la tête.
— Et pourquoi pas… juste ici ? Lorsqu’elle effleura l’un de ses tétons, il serra les dents si fort que sa mâchoire craqua.
— Juste ici, guerrier ? Tu m’embrasserais ici ? Elle titilla la pointe de son sein, et la pinça si fort qu’elle se fit feuler, avant de la masser pour apaiser la sensation de brûlure. Puis son autre main descendit sur son ventre.
— Et… ici ? chuchota-t-elle en poursuivant ses caresses sur le sommet de sa fente. Un grondement retentissant échappa à Xcor, qui dit à voix basse :
— Oui. Juste ici.
— Que ferais-tu avec ta bouche ? (Du bout du doigt, elle effleura les contours de son sexe.) Ou… non, tu utiliserais ta langue, n’est-ce pas ? guerrier. Ta langue… Elle haletait en se touchant, les yeux toujours rivés sur les siens alors qu’elle inclinait la tête sur le côté pour mieux savourer l’intensité de ses sensations.
— Tu glisserais ta langue ici… Xcor se jeta sur elle, si vite qu’il n’eut pas conscience de prendre la décision de la lécher. Et il se montra brutal lorsqu’il écarta la main de la femelle pour coller sa bouche contre son sexe, prenant ce qu’il désirait, ce avec quoi elle l’avait allumé. Ce fut au tour de l’Élue de tendre les bras de chaque côté pour chercher un appui afin de conserver un semblant d’équilibre. Mais il ne la laissa pas faire. Il la tira pour l’allonger complètement sur le carrelage, plaqua les paumes à l’intérieur de ses cuisses et la força à s’ouvrir pour plonger profondément sa langue en elle et la dévorer enfin tout son content. Elle jouit violemment contre son visage, plantant les doigts dans ses cheveux trempés, et tirant dessus jusqu’à lui faire mal. Non qu’il s’en soucie. Tout ce qui lui importait, c’était de la lécher, lui faire crier son nom, la marquer de ses lèvres et de sa langue. Mais c’était insuffisant. Alors même que la jouissance s’emparait d’elle de nouveau et qu’elle se cambrait sur le carrelage, les épaules rejetées en arrières, les seins tendus, tandis que l’eau sur sa peau faisait luire sa chair dans la faible lumière, il n’en eut pas assez. Xcor se redressa soudain et s’allongea sur elle pour la pénétrer profondément, puis il lui enfonça les ongles dans le bassin et la maintint fermement pendant qu’il commençait ses va-et-vient. Les seins de la femelle ondulaient d’avant en arrière, ses dents s’entrechoquaient, ses bras ballaient. Mais ses iris étaient enflammés comme si l’animal en lui subjuguait l’animal en elle. Il se retira à la dernière minute, s’agenouilla au-dessus d’elle, si bien que ses épaules bloquèrent momentanément le jet de la douche. Puis, empoignant son pénis en érection, il se montra encore plus brutal avec lui-même qu’il ne l’avait été avec elle, tirant violemment sur son sexe jusqu’à se faire jouir. Pour la couvrir. C’était la marque d’un mâle lié, une pratique effectuée pour que tout autre mâle en présence de sa femelle soit averti que, s’il s’approchait d’elle désormais, ce serait à ses risques et périls. Elle appartenait à un autre. Pas comme un simple objet. Mais une chose bien trop précieuse pour que d’autres jouent avec. Quand Xcor en eut fini avec elle, le jet de la douche avait commencé à perdre de sa chaleur… Non que Layla s’en soucie. Elle avait son guerrier entre les jambes, et il faisait ce qu’un mâle accomplissait lorsqu’il revendiquait une femelle, suivant en cela un instinct ancien destiné à assurer la survie de l’espèce. C’était sauvage et beau, primitif et pourtant toujours accueilli avec plaisir dans le monde moderne. Du moins dans son monde moderne à elle. Quand il s’écroula sur elle, Layla referma les bras autour de ses épaules glissantes et ferma les yeux en souriant.
— Je pèse trop lourd, marmonna-t-il dans son cou. Avant qu’elle puisse l’arrêter et lui dire qu’elle se moquait d’avoir mal au coccyx ou de souffrir d’éventuels bleus le lendemain, il la prit dans ses bras et se mit debout, la soulevant comme si elle était en cristal. Une fois sorti de la douche, il attrapa une serviette blanche moelleuse et l’enveloppa dedans. Puis il en prit une deuxième et lui essuya le visage avant de s’occuper de ses cheveux. Il lui tamponna délicatement la chevelure depuis le sommet du crâne jusqu’aux pointes, qu’il prit soin de tordre également pour bien les essorer. Elle le regarda faire dans le miroir, mémorisant en détail son expression, son corps, sa chevelure encore humide et l’impression de puissance larvée qu’il dégageait. Son visage lui était particulièrement cher : les méplats et les angles durs qui le modelaient s’étaient adoucis… et elle eut le sentiment qu’il n’aurait pas apprécié de savoir qu’elle discernait une certaine fragilité en lui".
— Pourquoi refuses-tu de te montrer nu devant moi ? En effet, il avait gardé ses vêtements toute la journée, se contentant de baisser son pantalon pour la pénétrer, puis de le tirer de nouveau sur ses hanches lorsqu’il l’avait serrée dans ses bras après l’amour.
— Xcor ? murmura-t-elle tandis que la vapeur s’élevait en volutes autour d’elle, faisant scintiller sa peau de milliers de gouttelettes d’eau. Pourquoi refuses-tu que je te voie ? Secouant la tête, il préféra ne rien dire. Lui exprimer à quel point il était douloureux qu’elle pose les yeux sur sa chair était tout simplement trop difficile. Elle n’avait jamais semblé rebutée par sa difformité, n’avait jamais paru la remarquer ni le tenir en moins haute estime à cause de ça ; néanmoins, les vêtements formaient comme un masque qu’il préférait porter en sa présence. Il en avait été différemment quand il avait souhaité la repousser, quand il avait cherché à la défier en exposant sa laideur, dans l’espoir qu’elle se détourne de lui et cesse de les torturer tous les deux. Mais à présent… On l’avait rejeté toute sa vie. Mais aucun de ses précédents abandons ne le ferait jamais autant souffrir que si elle lui tournait le dos à présent… Layla s’agenouilla avec la grâce d’un rayon de lune tombant des cieux. Et son premier élan fut de l’aider à se relever, car il n’aimait pas l’idée qu’elle touche le carrelage dur. Pourtant, lorsqu’il fit mine de se pencher, elle l’arrêta. Puis elle inclina la tête vers les mains du mâle. Tendit la langue… … et lui lécha lentement le majeur droit. Sa langue était aussi glissante que de l’eau, et aussi douce que du velours. Et il s’effondra contre le mur de la douche. Layla garda les yeux rivés sur son corps tandis qu’elle répétait son geste… avant d’aspirer son doigt dans sa bouche. Ensuite, elle entreprit de le lécher en effectuant de petits cercles avec sa langue, de plus en plus chauds, comme son intimité…
— Layla, supplia-t-il. Un à un, elle lui suçota chacun de ses doigts, lui faisant lâcher prise sur son érection, l’affaiblissant tellement que ses mains s’écartèrent de son sexe, non parce qu’il le leur avait ordonné, mais parce qu’il n’avait plus assez de force dans les bras pour agir autrement. Libéré de ses paumes, son pénis saillit immédiatement de ses hanches, et l’eau de la douche fit reluire le fier organe. Dieux ! il voulait qu’elle fasse ce qu’elle était sur le point d’accomplir, il mourait d’envie de sentir ses lèvres sur son gland, sa queue, désirait cette succion et…
— Merde ! grogna-t-il quand elle le captura dans sa bouche. Elle ne prit pas tout ce qu’il avait à offrir. Elle se concentra sur son extrémité, le taquinant de ses lèvres, puis s’arrêtant, avant de recommencer à l’embrasser… et, juste au moment où il se dit qu’il allait perdre la tête, elle tira la langue et lui lécha tout le pourtour du gland lentement, oh ! si lentement. Et durant tout ce temps ses prunelles vertes étaient rivées aux siennes, et l’eau tombait sur elle, ruisselant sur ses tétons, dégoulinant sur son ventre, avant de disparaître entre ses cuisses ouvertes. Xcor fit crisser ses paumes contre la paroi vitrée tandis qu’il tentait de se retenir à quelque chose pour rester debout, puis il finit par trouver une sorte d’appui sur le mur de marbre.
— Oh ! mon Dieu, Layla… (Il dut fermer les paupières.) C’est trop… Mais elle ne s’arrêta pas. Elle finit par l’aspirer tout entier dans sa bouche, alors même qu’il devait la remplir jusqu’au fond de la gorge. Il fallait qu’il regarde. Et, à la seconde où il aperçut ses lèvres étirées autour de son pénis en érection, il se mit à jouir.
— Je… Oh ! merde… Alors même qu’il tentait de la repousser, juste au cas où elle ignorerait ce qui était en train d’arriver, elle ne le laissa pas faire. Elle trouva un rythme de succion et reçut son orgasme dans la bouche tandis qu’elle glissait les mains entre ses jambes pour presser ses testicules. Xcor finit par terre. Littéralement. Les muscles de ses cuisses cédèrent, et il ne put que s’empêcher de tomber n’importe comment et de l’écraser. Et elle ne cessa pas de lui donner du plaisir, alors même qu’elle s’adaptait au changement de posture du mâle, l’entraînant dans un nouvel orgasme juste après le premier tandis qu’il écartait largement les jambes pour faciliter les mouvements de la femelle tout en caressant ses cheveux mouillés, la tête et la nuque écrasées dans un coin de la cabine. Quand elle s’arrêta enfin, elle se redressa et se lécha les lèvres. Pendant ce temps, il ne put que reprendre son souffle et la contempler en dodelinant de la tête, les bras en croix, tandis que la douche l’arrosait d’une pluie tiède comme s’il était une pierre dans la forêt.
— J’ai envie de te faire la même chose, dit-il d’une voix rauque. Elle se redressa sur ses talons et lui sourit.
— Vraiment ? Il opina. Comme un idiot. — Tu sembles un peu fatigué, guerrier, murmura-t-elle. T’aurais-je épuisé ? Xcor s’apprêtait à nier, lorsqu’elle s’assit dans le coin opposé, imitant sa posture. Et tout en baissant à demi les paupières elle remonta les genoux… avant de les écarter, lui offrant une vue époustouflante.
— Que me ferais-tu ? demanda-t-elle d’une voix lente. Tu m’embrasserais ici ? Elle fit glisser sa main fine le long de sa gorge. Et quand il branla du chef comme un abruti elle sourit.
— Ici… ? Ses doigts étaient à présent posés sur sa clavicule, et il hocha encore la tête.
— Et pourquoi pas… juste ici ? Lorsqu’elle effleura l’un de ses tétons, il serra les dents si fort que sa mâchoire craqua.
— Juste ici, guerrier ? Tu m’embrasserais ici ? Elle titilla la pointe de son sein, et la pinça si fort qu’elle se fit feuler, avant de la masser pour apaiser la sensation de brûlure. Puis son autre main descendit sur son ventre.
— Et… ici ? chuchota-t-elle en poursuivant ses caresses sur le sommet de sa fente. Un grondement retentissant échappa à Xcor, qui dit à voix basse :
— Oui. Juste ici.
— Que ferais-tu avec ta bouche ? (Du bout du doigt, elle effleura les contours de son sexe.) Ou… non, tu utiliserais ta langue, n’est-ce pas ? guerrier. Ta langue… Elle haletait en se touchant, les yeux toujours rivés sur les siens alors qu’elle inclinait la tête sur le côté pour mieux savourer l’intensité de ses sensations.
— Tu glisserais ta langue ici… Xcor se jeta sur elle, si vite qu’il n’eut pas conscience de prendre la décision de la lécher. Et il se montra brutal lorsqu’il écarta la main de la femelle pour coller sa bouche contre son sexe, prenant ce qu’il désirait, ce avec quoi elle l’avait allumé. Ce fut au tour de l’Élue de tendre les bras de chaque côté pour chercher un appui afin de conserver un semblant d’équilibre. Mais il ne la laissa pas faire. Il la tira pour l’allonger complètement sur le carrelage, plaqua les paumes à l’intérieur de ses cuisses et la força à s’ouvrir pour plonger profondément sa langue en elle et la dévorer enfin tout son content. Elle jouit violemment contre son visage, plantant les doigts dans ses cheveux trempés, et tirant dessus jusqu’à lui faire mal. Non qu’il s’en soucie. Tout ce qui lui importait, c’était de la lécher, lui faire crier son nom, la marquer de ses lèvres et de sa langue. Mais c’était insuffisant. Alors même que la jouissance s’emparait d’elle de nouveau et qu’elle se cambrait sur le carrelage, les épaules rejetées en arrières, les seins tendus, tandis que l’eau sur sa peau faisait luire sa chair dans la faible lumière, il n’en eut pas assez. Xcor se redressa soudain et s’allongea sur elle pour la pénétrer profondément, puis il lui enfonça les ongles dans le bassin et la maintint fermement pendant qu’il commençait ses va-et-vient. Les seins de la femelle ondulaient d’avant en arrière, ses dents s’entrechoquaient, ses bras ballaient. Mais ses iris étaient enflammés comme si l’animal en lui subjuguait l’animal en elle. Il se retira à la dernière minute, s’agenouilla au-dessus d’elle, si bien que ses épaules bloquèrent momentanément le jet de la douche. Puis, empoignant son pénis en érection, il se montra encore plus brutal avec lui-même qu’il ne l’avait été avec elle, tirant violemment sur son sexe jusqu’à se faire jouir. Pour la couvrir. C’était la marque d’un mâle lié, une pratique effectuée pour que tout autre mâle en présence de sa femelle soit averti que, s’il s’approchait d’elle désormais, ce serait à ses risques et périls. Elle appartenait à un autre. Pas comme un simple objet. Mais une chose bien trop précieuse pour que d’autres jouent avec. Quand Xcor en eut fini avec elle, le jet de la douche avait commencé à perdre de sa chaleur… Non que Layla s’en soucie. Elle avait son guerrier entre les jambes, et il faisait ce qu’un mâle accomplissait lorsqu’il revendiquait une femelle, suivant en cela un instinct ancien destiné à assurer la survie de l’espèce. C’était sauvage et beau, primitif et pourtant toujours accueilli avec plaisir dans le monde moderne. Du moins dans son monde moderne à elle. Quand il s’écroula sur elle, Layla referma les bras autour de ses épaules glissantes et ferma les yeux en souriant.
— Je pèse trop lourd, marmonna-t-il dans son cou. Avant qu’elle puisse l’arrêter et lui dire qu’elle se moquait d’avoir mal au coccyx ou de souffrir d’éventuels bleus le lendemain, il la prit dans ses bras et se mit debout, la soulevant comme si elle était en cristal. Une fois sorti de la douche, il attrapa une serviette blanche moelleuse et l’enveloppa dedans. Puis il en prit une deuxième et lui essuya le visage avant de s’occuper de ses cheveux. Il lui tamponna délicatement la chevelure depuis le sommet du crâne jusqu’aux pointes, qu’il prit soin de tordre également pour bien les essorer. Elle le regarda faire dans le miroir, mémorisant en détail son expression, son corps, sa chevelure encore humide et l’impression de puissance larvée qu’il dégageait. Son visage lui était particulièrement cher : les méplats et les angles durs qui le modelaient s’étaient adoucis… et elle eut le sentiment qu’il n’aurait pas apprécié de savoir qu’elle discernait une certaine fragilité en lui".
"Que comptait-il faire ensuite ? Prendre une règle pour vérifier l’alignement des tartines ?
— Tu sais ce qui serait délicieux sur le pain ? dit-il en repassant de nouveau la lame de son couteau sur le beurre. Oui, parce que le millimètre en haut à gauche n’était pas bien étalé.
— Quoi ?
— Du miel, murmura-t-il. Je pense que ce serait bien. Layla contempla le pot.
— Je pense que tu as raison. (Tendant la main, elle le prit et se redressa.) Le miel, c’est bon pour plein de choses. Après avoir fait tourner la cuillère dans la gelée ambrée, elle la sortit et la maintint au-dessus de son sein et, quand la douceur sucrée se mit à couler, elle tomba sur son téton. Le chatouillement lui fit se mordre la lèvre, puis un autre filet doré dégringola sur sa peau, formant une petite rivière qui sinuait sur son ventre.
— Xcor… ?
— Oui… Il tourna machinalement la tête vers elle une première fois et recommença aussitôt en laissant tomber la tartine sur le plateau. Ce qui fut un soulagement parce que, vraiment, si elle avait perdu la bataille contre des glucides pour obtenir son attention, elle aurait été dans un sacré pétrin. Ses yeux bleu marine s’enflammèrent instantanément et se rivèrent sur le filet de miel qui tombait goutte à goutte, d’une manière très affriolante, sur son sein avant de dégouliner en serpentant sur son ventre plus bas… de plus en plus bas.
— Je me demande si le miel est plus sucré que moi ? dit-elle d’une voix rauque. Sur ce, elle leva un genou et lui dévoila son intimité. Son mâle repoussa le plateau si vite qu’on aurait cru que l’assiette posée dessus avait insulté ses doigts. Le grondement retentissant qui émana soudain de lui plut beaucoup à sa partenaire, de même que la vision de ses crocs qui descendaient à toute vitesse. Puis il se jeta sur elle en s’arc-boutant de ses bras musclés sur le canapé, et fiévreusement, comme s’il peinait à contenir sa force incroyable, il tira la langue juste sous son téton… pour laper une goutte de miel. Ensuite, avec un gémissement, les lèvres chaudes et humides du mâle capturèrent le téton tout entier et il s’employa activement à le sucer, le lécher, l’embrasser. Layla renversa la tête en arrière, mais la tourna un peu de côté pour observer son immense mâle. Les sensations étaient si érotiques qu’elle sentit bientôt un orgasme monter en elle, mais elle ne voulait pas que cela finisse trop rapidement. Jusqu’à présent impatiente de coucher avec lui, elle désirait désormais savourer chaque seconde passée avec son mâle.
— Xcor… regarde-moi. Lorsqu’il plongea les yeux dans les siens, elle tint la cuillère au-dessus de sa bouche et laissa la dernière goutte de miel tomber sur sa langue. Puis elle la fit tourner avant d’en aspirer l’extrémité du bout des lèvres et de la retirer… pour recommencer plusieurs fois.
— Tu seras ma mort, femelle, jura Xcor. D’un geste précis, il lui prit la cuillère des mains et la remit dans le pot, juste au moment où l’Élue sentait ses os se liquéfier, ses muscles s’alanguir et tout son corps s’amollir comme le miel qu’elle avait répandu sur elle. Quand elle écarta davantage les genoux, il l’embrassa sauvagement, imprégnant ses lèvres du sucre qui recouvrait les siennes, tandis qu’elle sentait son pénis en érection frotter contre sa fente à travers son pantalon. Cela ne dura pas. Avec des gestes brusques, il libéra son sexe et se retrouva en elle, à aller et venir tout en l’embrassant, et leurs corps ondulèrent à un rythme si brutal que le canapé se mit à osciller et à taper contre le mur. Plus fort, plus vite, plus profond, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus garder leurs bouches l’une contre l’autre. Levant les mains, elle se cramponna à ses épaules et sentit les muscles frémir sous la peau lisse, comme un océan déchaîné… Le plaisir la foudroya comme l’éclair, mais lui donna aussi l’impression d’être enfin complète… et ce fut alors qu’il répandit sa propre jouissance en elle. Mais Xcor ne s’arrêta pas. Ni ne ralentit."
— Tu sais ce qui serait délicieux sur le pain ? dit-il en repassant de nouveau la lame de son couteau sur le beurre. Oui, parce que le millimètre en haut à gauche n’était pas bien étalé.
— Quoi ?
— Du miel, murmura-t-il. Je pense que ce serait bien. Layla contempla le pot.
— Je pense que tu as raison. (Tendant la main, elle le prit et se redressa.) Le miel, c’est bon pour plein de choses. Après avoir fait tourner la cuillère dans la gelée ambrée, elle la sortit et la maintint au-dessus de son sein et, quand la douceur sucrée se mit à couler, elle tomba sur son téton. Le chatouillement lui fit se mordre la lèvre, puis un autre filet doré dégringola sur sa peau, formant une petite rivière qui sinuait sur son ventre.
— Xcor… ?
— Oui… Il tourna machinalement la tête vers elle une première fois et recommença aussitôt en laissant tomber la tartine sur le plateau. Ce qui fut un soulagement parce que, vraiment, si elle avait perdu la bataille contre des glucides pour obtenir son attention, elle aurait été dans un sacré pétrin. Ses yeux bleu marine s’enflammèrent instantanément et se rivèrent sur le filet de miel qui tombait goutte à goutte, d’une manière très affriolante, sur son sein avant de dégouliner en serpentant sur son ventre plus bas… de plus en plus bas.
— Je me demande si le miel est plus sucré que moi ? dit-elle d’une voix rauque. Sur ce, elle leva un genou et lui dévoila son intimité. Son mâle repoussa le plateau si vite qu’on aurait cru que l’assiette posée dessus avait insulté ses doigts. Le grondement retentissant qui émana soudain de lui plut beaucoup à sa partenaire, de même que la vision de ses crocs qui descendaient à toute vitesse. Puis il se jeta sur elle en s’arc-boutant de ses bras musclés sur le canapé, et fiévreusement, comme s’il peinait à contenir sa force incroyable, il tira la langue juste sous son téton… pour laper une goutte de miel. Ensuite, avec un gémissement, les lèvres chaudes et humides du mâle capturèrent le téton tout entier et il s’employa activement à le sucer, le lécher, l’embrasser. Layla renversa la tête en arrière, mais la tourna un peu de côté pour observer son immense mâle. Les sensations étaient si érotiques qu’elle sentit bientôt un orgasme monter en elle, mais elle ne voulait pas que cela finisse trop rapidement. Jusqu’à présent impatiente de coucher avec lui, elle désirait désormais savourer chaque seconde passée avec son mâle.
— Xcor… regarde-moi. Lorsqu’il plongea les yeux dans les siens, elle tint la cuillère au-dessus de sa bouche et laissa la dernière goutte de miel tomber sur sa langue. Puis elle la fit tourner avant d’en aspirer l’extrémité du bout des lèvres et de la retirer… pour recommencer plusieurs fois.
— Tu seras ma mort, femelle, jura Xcor. D’un geste précis, il lui prit la cuillère des mains et la remit dans le pot, juste au moment où l’Élue sentait ses os se liquéfier, ses muscles s’alanguir et tout son corps s’amollir comme le miel qu’elle avait répandu sur elle. Quand elle écarta davantage les genoux, il l’embrassa sauvagement, imprégnant ses lèvres du sucre qui recouvrait les siennes, tandis qu’elle sentait son pénis en érection frotter contre sa fente à travers son pantalon. Cela ne dura pas. Avec des gestes brusques, il libéra son sexe et se retrouva en elle, à aller et venir tout en l’embrassant, et leurs corps ondulèrent à un rythme si brutal que le canapé se mit à osciller et à taper contre le mur. Plus fort, plus vite, plus profond, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus garder leurs bouches l’une contre l’autre. Levant les mains, elle se cramponna à ses épaules et sentit les muscles frémir sous la peau lisse, comme un océan déchaîné… Le plaisir la foudroya comme l’éclair, mais lui donna aussi l’impression d’être enfin complète… et ce fut alors qu’il répandit sa propre jouissance en elle. Mais Xcor ne s’arrêta pas. Ni ne ralentit."
5#-Kolher, le bon roi : Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Allons allons, ne nous leurrons pas ! Si Kolher en avait décidé autrement pour le sort de Xcor, c’est certain que cela se serait terminé tragiquement pour notre guerrier rebelle ! Dans ce 15ème tome, Kolher a eu un comportement tout simplement royal, bravo ! Evidemment, le fait qu’il soit un mâle uni avec un enfant l’a sans doute adouci, ou, en tout cas, lui permet d’avoir de la compassion et de l’empathie pour les autres. Du coup, voir Layla souffrir quant à la garde de ses enfants, ou la survie de son amant, seul le roi pouvait trancher…Kolher a aussi été parfait pour la rédemption de Xcor que pour remettre à sa place les guerriers de la confrérie qui contestent sa décision. Vive le roi !....Et la reine Beth également car nul doute que c’est aussi grâce à elle et aux autres femelles de la maison que Layla n’a pas été traitée comme une paria un fois ses sentiments pour le traitre Xcor révélés !
"— Pas dans ma maison ! (Il parla si fort que le tableau à côté de lui vibra sur le mur de plâtre.) Cela n’arrivera pas dans ma putain de maison ! Ma shellane et mon fils sont ici ; il y a des enfants sous ce toit. Il y a des enfants dans cette foutue pièce ! À l’autre bout de la chambre, Layla s’écroula par terre, et ses os absorbèrent le choc avec un claquement sonore. Cependant, elle ne lâcha pas Lyric et Sahccage, qu’elle tenait toujours blottis contre elle, mais elle baissa la tête et se mit à pleurer.
— Tout le monde sort de là, ordonna Kolher. Sauf les trois parents. Eh bien, au moins quelqu’un reconnaissait son rôle, se dit amèrement Blay. Reposant les yeux sur Vhif, il se surprit à dévisager, par-dessus le chaos, un mâle qu’il avait cru connaître presque aussi bien que lui-même".
"— Viszs, murmura-t-elle. La voix désincarnée du frère leur parvint du haut de l’escalier.
— Ouais, et il est venu avec un ami. Layla se plaça devant Xcor, mais il ne la laissa pas faire. Il la tira derrière lui, son côté protecteur refusant visiblement à la femelle qu’elle puisse le défendre d’une quelconque manière. Le frère descendit en premier ; il avait sorti ses deux pistolets, et, tout d’abord, elle ne comprit pas qui le suivait. Mais une seule paire de jambes étaient aussi longues, un seul torse aussi large. Un seul mâle vampire sur terre avait de tels cheveux noirs qui lui arrivaient aux hanches. Le roi était venu. Et lorsque Kolher eut descendu la dernière marche il se campa fermement sur ses rangers et inspira profondément, les narines dilatées. Douce Vierge scribe ! c’était un mâle gigantesque, et ses lunettes de soleil noires, qui ne laissaient rien voir de ses yeux, lui donnaient l’air d’un tueur. Ce qu’il était, supposait-elle.
— Eh bien, eh bien, eh bien, je sens de la romance dans l’air, marmonna-t-il. Quelle plaie".
— Ouais, et il est venu avec un ami. Layla se plaça devant Xcor, mais il ne la laissa pas faire. Il la tira derrière lui, son côté protecteur refusant visiblement à la femelle qu’elle puisse le défendre d’une quelconque manière. Le frère descendit en premier ; il avait sorti ses deux pistolets, et, tout d’abord, elle ne comprit pas qui le suivait. Mais une seule paire de jambes étaient aussi longues, un seul torse aussi large. Un seul mâle vampire sur terre avait de tels cheveux noirs qui lui arrivaient aux hanches. Le roi était venu. Et lorsque Kolher eut descendu la dernière marche il se campa fermement sur ses rangers et inspira profondément, les narines dilatées. Douce Vierge scribe ! c’était un mâle gigantesque, et ses lunettes de soleil noires, qui ne laissaient rien voir de ses yeux, lui donnaient l’air d’un tueur. Ce qu’il était, supposait-elle.
— Eh bien, eh bien, eh bien, je sens de la romance dans l’air, marmonna-t-il. Quelle plaie".
"En silence, Kolher tendit la main, celle qui portait l’énorme diamant noir symbole de son rang. En langue ancienne, le roi proclama :
— Jure-moi ta loyauté, ce soir et à jamais, sans mettre personne au-dessus de moi sur cette terre. La main de Xcor tremblait lorsqu’il la tendit. Saisissant celle du roi, il baisa l’anneau puis posa son front incliné dessus.
— À jamais, je te jure allégeance à toi seul, sans servir personne d’autre. Les deux mâles prirent une profonde inspiration. Puis Kolher posa la main sur la tête de Xcor, en une manière de bénédiction. Redressant la tête, le roi chercha Layla de ses yeux aveugles.
— Tu devrais être fière de ton mâle. Ce n’est pas rien pour un guerrier. Elle s’essuya les yeux.
— Oui. Kolher tourna la main et tendit sa paume à Xcor pour l’aider à se redresser. Et ce dernier, au bout d’un moment, accepta cette assistance. Quand les deux guerriers se retrouvèrent nez à nez, le roi reprit :
— Maintenant, convaincs chacun de tes guerriers de faire de même, et vous serez tous libres de regagner l’Ancienne Contrée. Mais il faut que tous me prêtent allégeance, est-ce que tu comprends ?
— Et s’ils ont déjà franchi l’océan ?
— Alors tu me les ramèneras ici. Il doit en être ainsi. La Confrérie qui me sert doit en acquérir la certitude, et c’est la seule façon de les forcer à cesser de traquer tes enfoirés".
— Jure-moi ta loyauté, ce soir et à jamais, sans mettre personne au-dessus de moi sur cette terre. La main de Xcor tremblait lorsqu’il la tendit. Saisissant celle du roi, il baisa l’anneau puis posa son front incliné dessus.
— À jamais, je te jure allégeance à toi seul, sans servir personne d’autre. Les deux mâles prirent une profonde inspiration. Puis Kolher posa la main sur la tête de Xcor, en une manière de bénédiction. Redressant la tête, le roi chercha Layla de ses yeux aveugles.
— Tu devrais être fière de ton mâle. Ce n’est pas rien pour un guerrier. Elle s’essuya les yeux.
— Oui. Kolher tourna la main et tendit sa paume à Xcor pour l’aider à se redresser. Et ce dernier, au bout d’un moment, accepta cette assistance. Quand les deux guerriers se retrouvèrent nez à nez, le roi reprit :
— Maintenant, convaincs chacun de tes guerriers de faire de même, et vous serez tous libres de regagner l’Ancienne Contrée. Mais il faut que tous me prêtent allégeance, est-ce que tu comprends ?
— Et s’ils ont déjà franchi l’océan ?
— Alors tu me les ramèneras ici. Il doit en être ainsi. La Confrérie qui me sert doit en acquérir la certitude, et c’est la seule façon de les forcer à cesser de traquer tes enfoirés".
"Kolher montra les crocs et feula.
— Entre. On ne va pas faire ça en public. Tohr se leva et obéit, et V. ne demanda pas la permission de se joindre à eux. Il emboîta directement le pas au roi, ferma les portes et s’y adossa, sans lâcher les poignées. Kolher ne perdit pas une seconde.
— Tu dégages. Tohr secoua la tête.
— Quoi ?
— Tu dégages de la Confrérie. Dehors. Je te révoque, avec effet immédiat. OK. Ce n’était pas supposé se passer ainsi, se dit Viszs. Non, voyez-vous, Tohr était la colle qui soudait la Confrérie. Hormis cette triste époque, après l’assassinat de Wellsie, il avait toujours été un roc solide et stable, la force tranquille qui encourageait les autres guerriers à garder leur sang-froid.
— Et tu fermes ta gueule. V. mit une minute à comprendre que le roi s’adressait à lui. Mais il n’eut pas le temps de répondre, car Tohr prit la parole :
— Il a raison, V. J’ai désobéi à un ordre direct. J’ai tiré sur Xcor hier soir quand je l’ai vu en ville. Je dois en subir les conséquences. Kolher parut un peu surpris que le frère accepte si promptement sa punition".
5#-Lassiter, l’ange déchu : Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Bon, bah ça y est, on sait qui a remplacé la Vierge Scribe ! Sous son attitude délurée, Lassiter prend néanmoins son nouveau rôle à cœur….Pour le moment, peu de gens sont au courant de sa nouvelle fonction (c’est étrange qu’il ne veuille pas le révéler à tout le monde ?....). En tout cas, on peut dire que c’est grâce à lui que la bande des Salopards de Xcor et les guerriers de la Confrérie se sont rapprochés et combattent dorénavant dans le même camp...
5#-Trez et son évolution : Attention zone spoilers et cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Je veux bien évidemment parler de l’arrivée de la vampire Thérèse qui postule pour être serveuse dans le restaurant du jumeau de Trez, iAm…..Et cette demoiselle est le portrait craché de Selena….Et elle arrive après que Trez ait prié la Vierge Scribe et que Lassiter (qui est devenu le nouveau « Vierge Scribe… ») appelle justement notre Ombre endeuillé pour lui donner rdv dans le resto de son frangin pile poil au moment où il reçoit Thérèse dans son bureau pour un entretien d’embauche…..Du coup, bah on va voir pour la suite de leurs aventures dans les prochains tomes, je suppose ! Mais même si Thérèse ressemble beaucoup à Selena, Trez sait qu’elle n’est pas sa shellane défunte, rassurez-vous….Mais il doit y avoir une connexion quelque part, c’est certain…Oh, et mention spéciale pour Emile, le collègue français de Thérèse au restaurant italien de iAm !
6#-Jane et Viszs, des problèmes de couple en perspective ? Notre vampire au bouc et aux goûts sexuels particuliers m’a paru bien perturbé dans ce tome 15. J’avoue, je n’ai pas trop compris certaines de ses réactions, notamment vis-à-vis de Layla et Xcor, qu’il aide d’abord, mais ensuite, il devient hargneux quand il est en présence de Kolher et qu’il considère Xcor comme une menace pour son roi…Bizarre…..Et pour ce qui est de son attitude avec sa Shellane, Doc Jane, bah, ce n’est pas très clair non plus ! Vizsz semble ne plus rien ressentir vis-à-vis d’elle, en tout cas, il laisse leurs métiers respectifs les éloigner l’un de l’autre….Sa Shellane est occupée à soigner des guerriers, c’est normal qu’elle ne soit pas disponible et il savait bien qu’en se mettant en couple avec un médecin – le médecin attitré de la Confrérie – elle serait très souvent sollicitée….Je ne sais pas, je ne le sens pas, toute cette histoire….pour le moment, Viszs réagit d’une manière apathique mais je me demande si dans les prochains tomes, il ne va pas exploser d’un coup….Et puis, il commence à repenser à ses anciens travers, quand il fixait des rendez-vous avec ses « soumis »…..Bref, j’attends de voir….Par contre, en ce qui concerne la cause de son mal-être dans son couple, je n’arrive pas trop à comprendre….Il n’est pas en manque d’enfant, comme ça a pu être le cas de Rhage dans le tome précédent….Cela dit, vu qu’il est le fils de la Vierge Scribe et que celle-ci a mis les voiles, c’est peut-être une raison suffisante à son attitude étrange et comme il ne peut pas se confier à Jane, qui est toujours prise dans ses activités de médecin, bah cela ne doit pas être facile pour lui…Mais de là à envisager l’idée de tromper sa shellane, quand même…J’espère qu’il ne va pas commettre cette connerie !!!!!
"— Je t’aime, dit-elle. Je suis désolée que nous ne puissions pas passer beaucoup de temps ensemble en ce moment.
— Ça n’a pas d’importance.
— Je pense que si. Viszs tendit sa main gantée et écarta la sienne. Se forçant encore à sourire, il reprit :
— Tu as ton travail. J’ai le mien.
— C’est vrai, et on ne va nulle part. Il avait bien conscience qu’elle entendait cette expression d’une façon rassurante, dans le sens de « notre couple est solide » et, tandis qu’il opinait, il avait aussi conscience qu’elle prendrait son assentiment dans le même sens. Mais alors qu’elle s’éloignait seule vers leur chambre il sut qu’il comprenait cette dernière expression dans une acception totalement différente. Et cela aurait dû le rendre triste. Mais il ne ressentait rien".
— Ça n’a pas d’importance.
— Je pense que si. Viszs tendit sa main gantée et écarta la sienne. Se forçant encore à sourire, il reprit :
— Tu as ton travail. J’ai le mien.
— C’est vrai, et on ne va nulle part. Il avait bien conscience qu’elle entendait cette expression d’une façon rassurante, dans le sens de « notre couple est solide » et, tandis qu’il opinait, il avait aussi conscience qu’elle prendrait son assentiment dans le même sens. Mais alors qu’elle s’éloignait seule vers leur chambre il sut qu’il comprenait cette dernière expression dans une acception totalement différente. Et cela aurait dû le rendre triste. Mais il ne ressentait rien".
"Alors qu’il poursuivait sa route, il crut entendre la voix de Jane dans son dos. Et c’était le cas. Elle était en pleine discussion avec Manny. V. songea un instant qu’elle remarquerait qu’il s’en allait et viendrait le retrouver. Mais non. Et encore une fois, se dit-il tandis qu’il gagnait le bureau en boitant et s’apprêtait à traverser le tunnel tout seul, il n’en fut pas surpris".
7#-Jo Nearly, encore…Si la jeune journaliste humaine est forte en informatique, elle l’est beaucoup moins que Viszs qui a enfin découvert qui postait des vidéos sur le net à propos de preuves de l’existence des vampires….J’ai vraiment hâte de voir la confrontation de la jeune femme avec la Confrérie….De bons moments de lecture en perspective, je le sens !
"Et bye-bye. Tandis qu’il effaçait une autre vidéo YouTube, Viszs se dit que, oui, c’était comme tirer un éléphant dans un couloir. Et que, s’il était encore plus facile de pirater ces comptes, on recevrait du pop-corn et des bonbons gratos en prime. Au suivant. Et… au suivant. Et… au suivant. En un sens, il devrait remercier Jo Early, alias Damn Stoker, pour cette efficacité. Sa page consacrée aux liens était une caverne aux trésors de contenus multiples publiés par une bonne dizaine de personnes. Donc, quand il aurait fini de nettoyer l’univers YouTube, il s’attaquerait à Instagram puis à Facebook. Le petit bac à sable de Zuckerberg serait un peu plus difficile à pirater et, comme pour les deux autres, il y aurait plein de comptes sur la plate-forme, mais il réussirait à les atteindre. Au suivant. Au suivant…".
8#-Affhres et son bouquin mystérieux : Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Je me doutais bien que ce salopiaud allait nous faire un truc pas très catholique pour continuer sa vengeance et son rêve de détrôner Kolher. Vu qu’apparemment, il y a de moins en moins d’éradiqueurs – et que l’Omega semble absent – JR Ward nous invente donc cette histoire de livre mystérieux qui permet de créer des entités, des ombres noires….A la fin de ce tome, nous voyons donc Affhres sur le point de créer sa propre armée….J’ai vraiment hâte de voir ce que ça va donner dans les prochains tomes !
"Quand Affhres désigna le lit, la chose se déplaça à la vitesse de la lumière, si vite que le vampire put à peine suivre le mouvement du regard : le corps de l’entité se détendit comme un élastique jusqu’au lit, où il reprit sa forme initiale dans un claquement. Et elle poignarda pile l’oreiller sur lequel il avait concentré son attention, alors même qu’il y en avait huit appuyés contre le dosseret. Puis l’entité attendit simplement à côté du lit, en flottant de nouveau comme un ballon et en ondulant légèrement à la base.
— Viens ici, murmura Affhres. L’obéissance était magique. La puissance indéniable. Les possibilités…
— Une armée, dit-il avec un sourire qui lui picota les crocs. Oui, une armée de ces entités fera très bien l’affaire".
9#-Les problèmes d’Ahssaut, qui augurent le prochain tome qui lui sera consacré : Dans le tome précédent, notre beau brun avait décidé de partir en cure de désintoxication (bon, il ne va pas dans un centre d'humains, il va juste se faire soigner par Jane), mais apparemment, cela ne se passe trop bien....Et comme le prochain tome lui sera consacré à lui et à Sola (qui, pour le moment, est toujours séparée de lui), j'ai vraiment trop hâte de le lire (bon, il va falloir attendre un an, pour la VF), en tout cas, ses cousins vont prendre la décision d'aller chercher la jeune humaine car à priori, elle est la seule à pouvoir le "sauver" de son "autodestruction".....
« — Je ne sais plus quoi faire pour Ahssaut. Il fait une crise psychotique totale. Je n’ai jamais rien vu de tel, et je ne veux pas le revoir. (Elle se passa une main sur le visage.) Et je ne peux pas l’aider. Je n’arrive pas à le ramener à la conscience. Je suis allée chez Havers une centaine de fois, j’ai passé au peigne fin ses anciens dossiers, discuté avec lui et son équipe. Manny a contacté des spécialistes de l’addiction chez les humains. Mais nous n’avons abouti à rien de concret, et ça me tue ».
10#-Le happy end pour Xcor et Layla : Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Cela m'a émue aux larmes de voir que Xcor, qui n'a jamais connu que la solitude, la violence et la douleur, et ce, depuis sa naissance, va enfin connaître l'amour avec une femelle remarquable (pas une vampire ordinaire, une Elue !!!!), il va ensuite découvrir qu'il a un frère de sang (Tohr, avec qui il partage le même infâme géniteur) et enfin, il va devenir "père" en tant que Hellren de Layla puisque celle-ci a eu ses deux jumeaux avec Vhif......Je suis TELLEMENT contente pour lui, il le mérite ! Et il y a aussi les hommes de Xcor, qui vont faire preuve de courage et qui vont gagner eux aussi le respect de la Confrérie...Au point, où, au lieu de repartir en Europe, comme c'était initialement décidé par Kolher, il vont finalement rester au complexe....Quoi qu'il en soit, je suis franchement ravie de la manière dont l'auteure a conclue ce tome et j'ai hâte de lire les prochains, rien que pour voir comment Xcor va évoluer avec sa nouvelle famille et ses nouveaux amis....
"-Xcor avait les yeux écarquillés par le choc lorsqu’ils rebondirent sur la banquette.
— Tu n’étais pas forcé de me sauver. Tohr réfléchit environ une seconde. Avant de décider, et puis merde ! Qui savait combien de morts restaient derrière et si Xcor allait survivre, compte tenu de ses blessures ? Fritz serait-il capable de les extraire du centre-ville jusqu’à un lieu sécurisé ?
— Je n’allais pas abandonner mon frère. Tout d’abord, Xcor décida de réinterpréter ce qu’on venait de lui dire. Assurément, il devait y avoir un problème de traduction, même s’il était évident que Tohr s’était exprimé en français.
— Je suis désolé… qu’est-ce que tu viens de dire ? Kolher se pencha également en avant, si bien que Tohr, pris en sandwich entre les deux mâles, resta le seul adossé à la banquette.
— Oui, renchérit le roi, tandis que le moteur rugissait et qu’ils étaient secoués en tous sens. Qu’est-ce que tu racontes ? Tohrment regarda Xcor dans les yeux. — Je suis le fils de Dhouleur. Et toi aussi. Nous sommes donc frères de sang. Le cœur du salopard se mit à cogner si fort que sa tête l’élança. Puis il se sentit plisser les yeux pour scruter le visage de son interlocuteur.
— Ce sont les yeux, expliqua ce dernier. Tu le verras dans tes yeux. Et, non, je ne l’ai pas vraiment connu, moi non plus. J’ai cru comprendre que ce n’était pas un bon mâle.
— Dhouleur ? marmonna Kolher. Non, pas du tout. Et c’est tout ce que j’en dirai. Xcor déglutit, la gorge serrée.
— Tu… es mon frère ? Et pourtant, une confirmation était-elle vraiment nécessaire ? Tohrment avait raison, ces yeux… avaient la même forme et la même couleur que les siens.
— En effet, affirma le guerrier d’une voix rauque. Je suis ton parent de sang. Toutes sortes de choses traversèrent l’esprit de Xcor, des fragments d’images, des échos de tristesse, des souvenirs de solitude. Finalement, quand la Mercedes atteignit une vitesse de croisière suggérant qu’ils se trouvaient sur l’autoroute, il ne put que baisser la tête et se taire. Quand on se voyait accorder ce qu’on avait toujours secrètement désiré mais qui était totalement inattendu, quand une brusque révélation semblait combler un trou dans votre vie, souvent la réaction de choc ne différait guère de celle qu’on éprouvait après avoir reçu une grave blessure. À moins que ce ne soit que cela. Il était gravement blessé et perdait ses fonctions intellectuelles. Ils demeurèrent silencieux pendant le reste du trajet, quelle que soit leur destination. Xcor garda les yeux rivés à la vitre fumée, tandis qu’il répandait son sang sur lui-même, la banquette et… son frère".
"Xcor s’était immobilisé au centre de la pièce et observait les berceaux d’un air terrifié.
— Tout va bien, l’encouragea-t-elle. Ils ne vont pas te mordre. Elle prit d’abord Sahccage et, quand le mâle regarda le bébé avec émerveillement, ce dernier fronça les sourcils en réponse. Il éclata de rire.
— Dieux ! c’est bien un guerrier que vous avez-là. Vhif et Blay s’approchèrent à leur tour, bras dessus, bras dessous, et le premier dit :
— N’est-ce pas ? C’est exactement ce que je pense. C’est un petit dur, pas vrai, Sahccage ? Il fait aussi des cacas toxiques. Tu apprendras ça plus tard. Le salopard haussa les sourcils.
— Toxiques…
— C’est une figure de style. Mais attends de sentir cette puanteur. C’est à te faire dresser les poils de poitrine, et les vampires n’en ont pas.
— Et voici Lyric, annonça Layla. Xcor arborait une expression perplexe quand il se pencha sur le berceau… mais très vite il changea complètement d’attitude. Les larmes lui montèrent aux yeux, sans qu’il puisse les retenir cette fois-ci. Jetant un coup d’œil à sa femelle, il expliqua :
— Elle te ressemble… trait pour trait. Tandis qu’il s’efforçait de se ressaisir, les deux autres mâles s’avancèrent derrière lui.
— Elle est magnifique, non ? dit Vhif d’une voix enrouée. Tout comme notre Layla".
Ce que je n’ai pas aimé dans ce livre :
1#-Le comportement déplorable de Vhif : J’ai notamment été très déçue par Vhif, le père des bébés de Layla qui s’est comporté d’une manière très cruelle, et pas seulement envers Layla mais aussi envers Blay. Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Même si tout s’arrange à la fin du livre, je dois dire que j’ai été super choquée par les paroles qu’il a prononceés à l’encontre de Layla ! Putain, mais s’il y a bien quelqu’un qui doit être tolérant et comprendre qu’on ne choisit pas qui on aime, c’est bien lui !!!!!! Mais non, aucune empathie vis-à-vis de la mère de ses enfants et pour lui, elle est clairement une pute, oui, une pute, parce qu’elle couche avec l’ennemi….Alors d’abord, elle n’a jamais couché avec Xcor à ce moment-là, quand elle lui avoue ses rencontre avec le vampire rebelle, mais en plus, Xcor n’est plus vraiment un ennemi mais ça, Vhif ne va pas être très vif (ah ah !) pour le comprendre ! Si Kolher, lui-même, a jugé que Xcor pouvait être digne de confiance, alors pourquoi Vhif s’est t-il autant entêté ? Bon, j’ai ma petite idée, je pense qu’il n’est pas très intelligent, que c’est un guerrier viril, pur et dur, comme il est décrit au début du tome….C’est sûr qu’au niveau de la sensibilité et la capacité à se mettre à la place des autres, on repassera ! Et du coup, s’il a été dégueulasse avec Layla, mais avec Blay, le choc ! Ses paroles ont vraiment été hyper blessantes et malheureusement tellement « banales » lors de conflits avec les familles recomposées….Evidemment Blay n’est pas le père « génétique » des jumeaux mais il est le compagnon de Vhif et est considéré comme leur deuxième père, en tant que couple homosexuel…Hors là, dès le premier problème, Vhif lui ressort à la gueule que ça ne le concerne pas, que c’est à propos de « ses » enfants…Putain ! Blay a raison de s’énerver et de quitter Vhif et son argument après, de dire qu’en le niant comme père des jumeaux, il nie aussi la mère de Blay comme grand-mère des jumeaux, bah oui, c’est logique ! Bref, on n’est pas passé loin de la catastrophe…Après, ce que je regrette avec La confrérie de la dague noire, c’est que JR Ward fait souvent passer très vite l’éponge à ses personnages qui arrivent à se pardonner facilement….Oui, au point que Xcor et Vhif deviennent amis et même complice à la toute fin du livre, notamment quand ils sont d’accord pour que la petite Lyric n’ait jamais de petit ami….Oui, enfin bon, quelques jours avant, Vhif pourchassait avec un couteau et un regard de dingue Xcor complètement à poil, démuni et à peine réveillé de son coma….Et il avait traité Layla de pute et ne voulait plus qu’elle voit ses enfants….Je dis ça, je dis rien….
"— Quoi ? Vhif fronça les sourcils et secoua la tête.
— De quoi parles-tu ?
— S’il vous plaît, ne le tuez pas. Comme tu l’as dit, il y a un moyen de résoudre ça. Vous pouvez peut-être le relâcher et… Vhif la repoussa plus qu’il ne s’écarta. Puis il parut peiner à trouver ses mots.
— Layla, dit-il lentement. Je ne suis pas certain de t’avoir bien comprise, et j’essaie de… Peux-tu… Saisissant l’occasion de plaider sa cause, elle se hâta de parler.
— Il ne m’a jamais fait de mal. Toutes les nuits où je l’ai retrouvé, il ne m’a pas une seule fois fait de mal. Il nous a trouvé un cottage où je puisse être à l’abri, et il n’y a jamais eu que nous deux là-bas. Je n’ai jamais vu un seul des salopards… Elle s’interrompit lorsque l’expression du mâle passa de la confusion à une réserve glaciale qui lui donna l’air d’un parfait étranger. Quand Vhif reprit la parole, sa voix était atone.
— Tu as rencontré Xcor ?
— Je me suis sentie atrocement mal…
— Il y a combien de temps ? lança-t-il. Mais il ne la laissa pas répondre.
— Es-tu allée le voir quand tu portais mes enfants ? As-tu volontairement et sciemment fréquenté l’ennemi alors que ma fichue descendance était en toi ? Avant qu’elle puisse répliquer, il leva l’index.
— Et tu devrais réfléchir longuement à ta réponse. Il n’y aura pas de retour en arrière, il vaudrait mieux que ce soit la vérité. Si je découvre que tu m’as menti, je te tuerai. Alors que le cœur de Layla tambourinait dans sa poitrine et que la panique lui donnait le vertige, sa seule et unique pensée fut… Tu me tueras quand même".
"— Tu as sciemment et volontairement mis mes enfants en danger parce que tu voulais… (Il eut un sursaut.) Seigneur Dieu ! est-ce que tu as couché avec lui ? Est-ce que tu l’as baisé enceinte de mes enfants ?
— Non ! Je n’ai jamais été avec lui de cette façon-là !
— Menteuse, hurla-t-il. Espèce de pute menteuse…
— Je suis quasiment vierge ! Et tu le sais très bien ! En outre, tu n’as pas envie de moi. Pourquoi cela t’intéresse-t-il ?
— Tu prétends donc ne jamais l’avoir même embrassé. (Quand elle ne répondit pas, il eut un rire dur.) Ne prends pas la peine de nier. Je le vois sur ton visage. Et tu as raison je n’ai pas envie de toi, je n’ai jamais eu envie de toi… et ne déforme pas mes propos. Je ne suis pas jaloux, je suis dégoûté, bordel ! Je suis amoureux d’un mâle de valeur et j’ai dû coucher avec toi parce qu’il me fallait un incubateur pour mon fils et ma fille. Cela et le fait que tu te sois jetée sur moi pendant tes chaleurs sont les seules raisons pour lesquelles j’aie jamais couché avec toi. Layla blêmit et, bien que cela fasse de lui un connard, il en fut heureux. Il voulait la blesser à l’intérieur, là où c’était important, parce qu’aussi furieux soit-il jamais il ne pourrait frapper une femelle. Et c’était la seule raison pour laquelle elle était encore debout".
"— Tout ce qui m’intéresse, c’est que tu poses cette arme, reprit-il d’un ton égal. Pose le pistolet et raconte-moi ce qui se passe. Autrement, si tu veux lui tirer dessus, la balle devra me traverser. Vhif prit une profonde inspiration, comme s’il devait se forcer à ne pas hurler.
— Je t’aime, mais ça ne te regarde pas, Blay. Dégage de là et laisse-moi régler cette affaire.
— Attends une minute. Tu as toujours dit que j’étais le père de ces enfants, moi aussi…
— Pas dans ce cas précis. Maintenant, barre-toi de là, bordel ! Blay cligna des yeux une fois. Deux fois. Puis trois. C’était étrange, la douleur dans sa poitrine le poussa à se demander si Vhif n’avait pas appuyé sur la détente et qu’il avait raté la détonation. Reste concentré, s’intima-t-il.
— Non, je ne bougerai pas.
— Casse-toi d’ici ! (Le corps de Vhif se mit à trembler.) Barre-toi de mon chemin, putain !".
"— Je n’y arrive pas.
— À faire quoi ?
— Me trouver dans la même pièce que toi une minute de plus. Vhif cligna des yeux.
— Alors va-t’en. Je suis désarmé, tu te rappelles ? Et il y a un million de frères qui surveillent le couloir de cette fichue chambre. Autrement, oui, il y serait toujours. Avec ses enfants.
— Tu as gagné, marmonna Blay. Je m’en vais chez moi prendre des nouvelles de ma mahmen. Alors que les syllabes retentissaient dans l’atmosphère tendue qui régnait entre eux, il fallut encore une minute au cerveau de Vhif réduit en compote pour les déchiffrer. Chez lui… ? Sa mahmen… Ah, oui ! Sa cheville. — D’accord. Oui. Blay demeura néanmoins où il était. Puis, à voix basse, il demanda :
— Est-ce que ça t’intéresse ne serait-ce qu’un peu de savoir si je serai de retour avant l’aube ? Quand son compagnon ne réagit pas, le mâle s’écarta, secoua la tête et se dirigea vers la sortie. Vhif prit note de son départ, et une partie de lui eut conscience qu’il devrait le retenir en le rappelant et en renouant le dialogue avec lui. Mais une plus grande part de son être était toujours dans cette chambre là-haut, à tenter de débrouiller les fils de souvenirs de ce point aveugle chauffé à blanc qui bloquait sa mémoire. Seigneur… avait-il réellement vidé son arme dans la demeure ? Avec ses enfants dans la pièce…
— Vhif. Il retourna son attention de l’autre côté du salon. Blay se tenait sur le seuil, les yeux plissés, la mâchoire contractée. Le mâle se racla la gorge.
— Juste pour qu’on soit au clair toi et moi, sache que je ne serai jamais capable de me sortir de la tête ce que tu m’as dit dans la chambre là-haut. De la même manière que je n’oublierai pas non plus cette vision de toi une arme à la main. — Ça en fait au moins un sur nous deux, marmonna Vhif.
— Je te demande pardon ?
— Je ne me souviens de rien.
— Voilà une putain de bonne excuse. (Blay pointa un index indigné vers son compagnon.) Ne compte pas effacer une scène pareille en prétendant souffrir d’amnésie.
— Je ne vais pas en discuter avec toi.
— Alors nous n’avons vraiment plus grand-chose à nous dire".
2#-Le comportement odieux de Tohr : Déjà par rapport à Automne, sa nouvelle Shellane…Mais quel manque de respect ! Comment cette femelle peut-elle supporter cela ! Ok, la nuit qui va bouleverser tout le monde dans ce tome 15 correspond à la date anniversaire de Welsie, l’ancienne Shellane de Tohr, et c’est normal qu’il en soit chamboulé (surtout qu’elle est morte, assassinée par les éradiqueurs alors qu’elle était enceinte de leur enfant), mais n'empêche, ce n’est vraiment pas correct vis à vie d’Automne qui aurait dû garder son ancien prénom persOnne puisque là, clairement, oui, elle n’est personne !....Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! Et pour ce qui est de la haine que nourrit Torh à l’encontre de Xcor, euh…..Bah pourquoi il le déteste autant ? Ok, il est considéré comme un ennemi mais la manière dont Tohr attend avec impatience de torturer (et de tuer Xcor) quand celui-ci est encore prisonnier de la Confrérie, c’est vraiment trop ahurissant ! Tout cela parce qu’il déprime et qu’il n’est pas bien dans sa tête, il pense que se « soulager » sur Xcor va lui faire du bien ?!!!! D’ailleurs, il l’admet lui-même, le problème de la douleur de son deuil ne s’en ira pas après avoir tué Xcor….Bah oui, évidemment ! La manière dont il parle ensuite avec Layla, son mépris, sa violence, mais ce n'est pas possible !!!! Pourquoi elle et Xcor n'auraient pas le droit de s'aimer ?!!!! Ah purée !!! Dis-donc, Torh, Vas voir Mary pour qu’elle te fasse des séances de psychothérapie parce que très franchement, tu en as besoin, mon gars !....Cela dit, maintenant qu’il a découvert que Xcor était son frangin, ça va sans doute l’apaiser…..On verra bien !
Pour conclure, ma lecture de ce tome a été particulièrement intense et c’est bien évidemment un gros coup de cœur pour moi ! Il faut dire que j’attendais depuis 4 ans la consécration de l’histoire d’amour maudite entre Xcor et Layla ! Mais je vous avoue que j’ai aussi traversé des moments de pure angoisse face aux réactions parfois totalement dingues de certains personnages qui ont carrément pété les plombs en apprenant cette liaison secrète et interdite. Et comme JR Ward n’hésite pas à « tuer » certains de ses personnages, et que tout ne se finit pas forcément en happy end dans sa saga, je peux vous dire que j’ai tremblé plus d’une fois pour mon couple chouchou ! En ce qui concerne les histoires parallèles, l’auteure évoque par quelques phrases les problèmes que rencontre Ahssaut au cours de sa désintoxication ce qui annonce les prémices du prochain tome qui lui sera consacré (avec Sola, l’humaine, qui est pour le moment partie loin, très loin de Caldwell…). Lassiter, l’ange déchu et déjanté ami des vampires de la Confrérie, nous revient en force également dans ce tome, et j’espère vraiment qu’un jour l’auteure lui accordera à lui aussi de trouver l’âme sœur….Quant à Trez, c’était intéressant de voir comment se déroule sa vie après le drame qu’il a vécu il y a quelques mois…Et Kolher, alors ?....Ah, il a été parfait ! Il mérite vraiment son titre de roi, ça, c’est sûr ! Quelle noblesse d’âme ! Alors voilà, je referme donc ce livre avec le sourire aux lèvres en repensant aux scènes si intenses et sensuelles qui se sont déroulées entre Xcor et Layla (Xcor, malgré qu’il soit « sauvage » et analphabète est un sacré romantique ! Purée, il nous a sorti des phrases qui m’ont vraiment donné des frissons !) mais à la lecture de ce tome, j’ai aussi une petite inquiétude pour Viszs….Tout comme pour Rhage, dans le tome 14, celui-ci semble commencer à traverser une petite crise existentielle….Bref, on verra ce que JR Ward va pouvoir nous inventer dans l’avenir mais quoiqu’il en soit, la saga de La confrérie de la dague noire a encore de beaux jours devant elle (et ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre, ça c’est sûr !).
Si vous avez aimé ce livre, vous aimerez peut-être aussi :
J'ai finis de lire le tome 1 il y a peu et j'ai adoré ! :) Apparemment la suite à l'air tout aussi bien ;)
RépondreSupprimerOh oui, je te confirme que cette saga est géniale ! Personnellement, mes tomes préférés sont les 3, 7 et 15. Pour ceux que j'ai le moins aimé : les 2, 4 et 6.
SupprimerBonnes lectures !
Tu m'as trop donné envie de le relire!
RépondreSupprimerJe t'avoue, parfois je relis certaines scènes pour avoir le coeur qui palpite de nouveau ! je l'attendais tellement cette romance entre ces deux personnages ! 😉😉😉😍
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