Les Editions J'ai Lu (2017)
Sortie originale 2013
335 pages
Synopsis :
Fille bâtarde d'un comte, Lisette Bonnaud prête assistance à son demi-frère qui tient une agence d'investigations à Londres. Or, celui-ci refuse catégoriquement de la laisser participer aux enquêtes de terrain. Frustrée, la jeune femme trouve enfin une occasion en or quand, en l'absence de Dom, se présente le duc de Lyons, à la recherche de son frère disparu. Lisette promet de l'aider, à condition de l'accompagner en France où mène un semblant de piste. Se faisant passer pour mari et femme, ils plongent dans une aventure pleine de dangers, dont le pire est peut-être cette attirance brûlante qui les pousse à commettre toutes les folies.
"Sa mère avait eu tort d’accorder sa confiance au vicomte, une négligence qui ne lui avait apporté que du chagrin. Lisette ravala ses larmes. Jamais elle ne commettrait la même erreur. À la première occasion, elle tracerait elle-même son chemin, envers et contre tout".
La première chose qui m'a attirée dans ce livre c'était de savoir que l'héroïne était française (avec un nom comme Lisette Bonnaud, il y a peu de doutes...)....Bon pour être honnête, notre héroïne est seulement à moitié française puisque son père est anglais, et il n'est pas n'importe qui car il est le Vicomte de Rathmoor (Claudine, sa mère, par contre, était une très belle actrice française avant d'avoir ses enfants).....Lisette ne vit donc pas en France mais en Angleterre et quand le récit commence, elle a 14 ans, son frère aîné, Tristan, en a 17. Ils vivent dans un petit logis avec leur mère et leur père vient régulièrement les voir (il a promis le mariage à sa mère....Parolé parolé parolé paroléééé comme le chantait Dalida....).
Et manque de pot, quand le père est sur le point de mourir, il dicte ses dernières volontés sur un papier....Papier qui va être détruit par George.....Et comme le testament initial fait il y a un paquet d'années en faisait l'unique héritier et bah.....C'est vraiment ballot pour Tristan, Lisette et même Dominick, le "vrai" frère de George, qui lui non plus, n'a droit à rien !!!!
Cela dit, Tristan ne l'entend pas de cette oreille. Il sait que son père voulait lui léguer son cheval préféré et du coup, avec la fougue de ses 17 ans, il va aller prendre le cheval à l'écurie du domaine et se barrer avec !
C'est à ce moment-là qu'il faut préciser que le vol de cheval est puni de la peine de mort....Même si Tristan ne considère pas cela comme un vol car c'était la dernière volonté de son père, cela, seul lui et le perfide George le savent ! Aux yeux de tous, Tristan devient un voleur en cavale.....Et du coup, cela se répercute sur sa mère et sa soeur qui vont être chassés de leur maison (puisqu'elle était sur le domaine du père, qui appartient dorénavant à George, le nouveau Vicomte) et notre héroïne va devoir retourner vivre en France qui sort tout juste des guerres Napoléoniennes avec l'Angleterre.....
"Tu es la fille du vicomte de Rathmoor, que diable ! Ne l’oublie jamais.
— Sa fille illégitime, grommela Lisette. Que sont devenues les belles promesses de mariage de papa ? Piquée au vif, Claudine pinça les lèvres.
— C’est… un peu compliqué. Ton père attend que la guerre contre la France soit finie. En épousant une Française, il craint de déclencher un scandale qui éclabousserait ses fils légitimes. Sceptique, Lisette observa sa mère à la dérobée.
— La guerre est finie depuis un an, maman. Et le seul qui se soucie du scandale est George. Repousser l’échéance n’y changera rien. À vingt-six ans, George Manton était le premier fils légitime du vicomte, l’héritier du titre, le demi-frère de Lisette et Tristan. Il les détestait cordialement depuis que son père avait fait de Claudine sa maîtresse à demeure. Même des années après la mort de sa propre mère, il haïssait celle que son père aimait, ainsi que les enfants nés de cet amour".
Après ce flash-back, le récit reprend quand Lisette est maintenant âgée de 26 ans. Sa mère est malheureusement décédée trois années auparavant et notre héroïne est revenue vivre à Londres, pour travailler auprès de son demi-frère Dominick, qui a ouvert une agence de détectives (puisque lui aussi a été renié par son frère aîné George, puisqu'il avait apporté son soutien à Tristan et donc, même s'il est un aristocrate de naissance, il ne perçoit aucun argent de son patrimoine....La tuile !!!).
Alors je dois vous dire que j'ai beaucoup aimé lire ce 1er tome des Hommes du Duc (un titre qui va trouver son explication à la fin du récit). L'histoire est prenante, entre une romance torride avec la rencontre de Lisette avec le Duc de Lyons (qui a besoin des services de détective de Dominick), l'espèce de "road trip" qui va suivre avec toutes les rencontres et les aventures qui en découlent et enfin, il y a le secret de famille de notre héros Max qui l'empêche de faire un mariage d'amour....
"Le duc l’observa d’un air énigmatique.
— Quoi qu’il en soit, nul ne croira une seconde que nous sommes frère et sœur. Nous sommes trop différents… et je vous assure que je ne parviendrai jamais à vous traiter comme une sœur.
— Parce que je suis d’un rang trop inférieur au vôtre ? rétorqua-t-elle, indignée.
— Parce que vous êtes trop belle. En la voyant se crisper, il ajouta d’un air désabusé :
— Je ne peux faire semblant de ne pas le remarquer. Or à ma connaissance, un frère n’est pas censé s’attarder sur ce genre de chose chez une sœur".
La plume de l'auteure américaine Sabrina Jeffries est agréable et addictive et c'est avec plaisir que je lirai la suite de la saga puisque les prochains tomes seront consacrés aux hommes de l'entourage de Lisette et de Max qui, eux aussi, vont finir par rencontrer leurs petites mignonnes....
Ce que j'ai aimé dans ce livre :
1#-La romance entre Lisette et Maximilian : Ouh la ! Leur première rencontre est assez explosive. Même si une certaine attirance se fait entre ces deux-là, ils restent chacun campés dans leurs à prioris.....Dans la mesure où Dominick est en mission en Ecosse et que Max est à la recherche de Tristan pour avoir des explications avec lui, Lisette va donc proposer au Duc de partir avec lui en France pour le mener jusqu'à son frère (qui n'est pas censé mettre les pieds sur le sol anglais à cause du vol du cheval 12 ans auparavant...). Bien évidemment, le voyage va être long entre les escales dans les auberges et la traversée de la Manche (d'ailleurs, à ce propos, je ne comprends pas pourquoi ils accostent à Dieppe et non au Havre, surtout pour se rendre à Rouen ensuite....C'est la Havraise que je suis qui parle et qui se rappelle que dans les années 90, à certaines périodes de l'années, elle pouvait faire la traversée en ferry Le Havre/Portsmouth pour 10 francs, oui, Messieurs, Dames ! 10 francs !!!! (1,5 euros !!!!!!!), mais là, je m'égare, je referme la parenthèse et je retourne aux aventures de Lisette et de Max...). Même si la tension sensuelle va vite devenir intolérable et incontrôlable entre nos deux héros, il ne faut pas oublier que Lisette se refuse de tomber amoureuse d'un aristocrate (comme sa mère, vu ce que ça lui a coûté). Et Max, quant à lui, cache un lourd secret de famille et se refuse d'imposer cela un jour à une femme qui l'aimera....Bien évidemment, l'amûûûûr est plus fort que tout et nos deux amants vont vite se rendre compte qu'ils ne peuvent pas se passer l'un de l'autre mais avant cela, l'auteure nous réserve certaines péripéties....
"— Qui êtes-vous donc ? La maîtresse de Manton ? En entendant ces paroles teintées de mépris, Skrimshaw s’empourpra de rage. Lisette posa une main sur son bras pour l’empêcher d’intervenir.
— Je m’en charge, Shaw. Il recula à contrecœur.
— Comment savez-vous que je ne suis pas son épouse ? demanda-t-elle en soutenant le regard perçant du duc.
— Il n’est pas marié. Quel goujat ! Sa mère l’aurait qualifié de… d’Anglais. S’il ne ressemblait pas à un duc, il se comportait comme tel.
— Certes, mais il a une sœur… Cette réponse le déstabilisa un instant. Il se ressaisit très vite et la toisa de plus belle.
— Pas à ma connaissance. Il dépassait les bornes. Elle oublia les menaces du duc, l’heure matinale et sa tenue légère. Elle ne voyait plus qu’un autre George, tout aussi suffisant que l’original.
— Je comprends, dit-elle en s’avançant d’un air de défi. Puisque vous savez tant de choses sur M. Manton, il est inutile que je vous indique quand il reviendra, ni comment vous pouvez le joindre. Sur ce, je vous souhaite une bonne journée, milord. Lorsqu’elle voulut lui claquer la porte au nez, il s’interposa. En levant les yeux vers lui, elle crut déceler dans son regard une lueur proche du respect.
— Veuillez m’excuser, madame. J’ai l’impression que nous sommes partis sur de mauvaises bases.
— C’est vous qui êtes mal parti. Vous n’avez pas eu besoin de moi pour vous fourvoyer. À en juger par l’expression du duc, il n’avait pas l’habitude qu’une personne de modeste condition lui tienne tête.
— C’est une façon de voir les choses, mais vous n’avez peut-être pas tort, j’en conviens. Toutefois, il existe une explication à ma grossièreté. Si vous me permettez de vous l’exposer, je promets de me conduire en gentleman".
"— Auriez-vous perdu la tête ? persifla-t-il.
— Pas le moins du monde, milord. Je connais les méthodes des hommes de votre espèce. Vous malmenez les gens uniquement parce que vous en avez le pouvoir. Eh bien, vous n’en ferez rien avec mon frère".
"— Mais vous ne pouvez voyager seule avec moi ! Je vais perdre un temps précieux à vous trouver un chaperon. La jeune femme n’en croyait pas ses oreilles.
— Je n’ai que faire d’un chaperon ! Nul ne se soucie de ma réputation. Je ne suis personne !
— Vous êtes une femme respectable.
— Ce n’est pas ce que vous affirmiez tout à l’heure, persifla-t-elle".
2#-Le caractère de Lisette : J'ai beaucoup aimé le caractère indépendant de notre héroïne qui a vu sa mère attendre éternellement le mariage avec son père, à pure perte....Lisette est donc bien décidée à ne jamais se marier, en plus, elle a 26 ans et pense que de toute manière, elle a passé l'âge. Elle préfère une vie d'aventure et travailler pour son frère dans son agence de détectives (même si elle souhaite plutôt devenir une agent sur le terrain plutôt que de gérer l'administratif, mais son frère lui a dit qu'il réfléchirait, alors elle garde espoir...)....Evidemment, sa rencontre avec Max va toute changer, bien qu'au début, elle se méfie de lui et de la forte attirance et du trouble qu'il lui procure.....J'ai adoré ses affrontements verbaux, ses réparties à l'encontre de Max, qui veut toujours avoir raison et qui n'a, de toute manière, pas l'habitude qu'on remette en doute son autorité de Duc.....Lisette est une héroïne comme je les aime !
"— Je veux être capable de me défendre, ne jamais dépendre financièrement d’un homme. Voilà qui était clair et net. Mais ce n’était pas tout.
— Je veux parcourir le monde. Elle leva les yeux vers Max, emportée par son enthousiasme.
— Je veux utiliser mon cerveau, ne pas faire semblant d’être idiote uniquement pour ménager l’orgueil d’un homme. Je veux aider Dom dans son travail pour prouver à George que nous avons réussi malgré son hostilité".
"Une idée germa dans l’esprit de la jeune femme.
— Dans ce cas, restons discrets. Voyageons dans une voiture anonyme, comme n’importe qui. Vous pourrez alors prétendre que je suis une parente sans susciter le moindre commentaire. Elle ne put réprimer un sourire espiègle :
— Nous serons deux personnes ordinaires, et nul ne se souciera de ma réputation ou de la vôtre. Ou de Peter. Ces paroles restèrent en suspens entre eux. Max dévisagea longuement Lisette. Elle se hâta de rompre le silence.
— Tout sera plus facile. Si vous vous faites passer pour l’un de mes frères, il n’y aura pas de domestiques, pas de questions. Nous irons en France mener discrètement l’enquête, puis nous reviendrons sans attirer l’attention.
— Et les privilèges liés à mon rang ?
— Quels privilèges ? En France, vous ne serez qu’un étranger dans un pays où de nombreux aristocrates ont perdu la tête. Être un lord anglais n’est pas un avantage, là-bas. Vous risquez d’en faire l’amère expérience".
3#-Les personnages secondaires : Dans une saga, il est normal de voir évoluer plusieurs personnages puisque ils seront à un moment ou à un autre les héros d'un prochain tome. Concernant Dom, j'ai tout de suite tilté avec son petit échange tendu avec la jeune demoiselle Jane Vernon....J'ai vraiment hâte de lire le tome qui leur sera consacré ! Le tome qui sera consacré à Tristan devrait être sympa aussi surtout connaissant le caractère frondeur du jeune homme !
"Lisette se leva à son tour. Jane Vernon était une cousine de l’épouse de George. Elle avait aussi été fiancée à Dom, jusqu’à ce que celui-ci se retrouve sans un sou.
— Bonsoir, monsieur Manton, répondit la jeune femme en pâlissant. J’ignorais… Elle se tourna vers Lisette et parut se ressaisir.
— J’ignorais que vous patientiez, tous les deux. Nous dînons à l’étage. Je ne sais pas pourquoi le majordome ne vous a pas fait monter. Dom la dévisagea avec attention.
— Allons, mademoiselle Vernon, vous n’êtes pas stupide. Vous savez parfaitement pourquoi le majordome ne nous a pas introduits. Jane se redressa fièrement.
— Je constate que vous n’avez pas changé, monsieur. Un homme tel que vous ne s’embarrasse pas d’amabilités. Je vais prévenir George. Je suppose que c’est lui que vous souhaitez voir ?
— Merci, fit Lisette en acquiesçant. Dès qu’elle se fut retirée, elle se tourna vers son frère :
— Tu n’avais pas à te montrer désagréable !
— Je n’étais pas désagréable, j’étais sincère. Revoir Jane l’avait visiblement perturbé, lui qui était toujours d’humeur égale. Voilà qui était étrange…".
4#-La rencontre d'un personnage français illustre : C'est rare que des romances introduisent des personnages ayant vraiment existé mais c'est le cas ici. Evidemment, je ne parle pas de Napoléon, mais de Vidocq......Ca me fait bizarre de le lire discuter avec notre héroïne, mais quoiqu'il en soit, l'auteure a fait un bon choix car cet homme était réputé pour utiliser des agents féminines dans ses enquêtes....A cette époque où les femmes devaient rester à la cuisine, c'état plutôt moderniste !
"À Paris, il avait passé son temps à lui chercher un mari convenable parmi ses amis militaires, qui la regardaient de haut, comme si une bâtarde d’origine anglaise devait se sentir flattée qu’ils daignent lui accorder la moindre attention. Dominick la considéra d’un air pensif.
— Sais-tu au moins te servir d’un pistolet ?
— Bien sûr ! Vidocq m’a montré".
"Dom n’avait pas à le savoir. Il pestait déjà contre François Vidocq, l’ancien chef de la police secrète française.
— J’ai peine à croire que notre frère t’ait permis d’approcher cette crapule.
— Nous avions besoin d’argent, répondit-elle d’un ton désinvolte. Et Vidocq cherchait une personne de confiance pour le classement de ses fiches signalétiques de criminels. C’était un poste intéressant".
5#-Le secret de Max : Attention zone spoilers ! Cliquez sur le mulot et passez le texte en surbrillance ! A partir du moment où Max a évoqué le fait que son père avait attrapé la syphilis, j'ai tout de suite soupçonné qu'il avait dû perdre la tête par la suite.....Ce qui n'a pas manqué quand Max a commencé à se dévoiler sur le secret de famille qui le ronge, à savoir que "tous" les hommes de sa famille deviennent fous....Bon, il n'y avait que son père et son oncle, mais cela a suffit pour qu'il ne veuille pas imposer une vie de calvaire à la femme qui l'épousera.....Je trouve que l'auteure s'est remarquablement bien impliqué dans le récit avec cette histoire de "malédiction" familiale, qui en fait, n'en était pas une....Le coup fatal a été évidemment avec la révélation des aventures de sa propre mère qui n'était pas si sainte que cela.....En plus de cette ombre de la folie qui a plané durant tout le récit j'ai aussi apprécié le fait que Sabrina Jeffries évoque Geel, cette ville en Belgique qui prend en charge les "fous"....Je l'ignorais alors apprendre un truc comme ça en lisant une romance historique, ça fait toujours plaisir pour ma propre culture personnelle !
"— Que me cache Max à propos de sa famille ? demanda Lisette. Et qu’en est-il d’Anvers ? Max ne pouvait lui dissimuler la vérité plus longtemps.
— Anvers est proche d’une ville nommée Geel, expliqua-t-il, la gorge nouée par l’émotion. On parle parfois de « colonie d’aliénés », car c’est là-bas qu’on envoie les déments pour leur faire suivre un traitement de la dernière chance… C’est aussi là-bas que mon grand-oncle dément a emmené mon frère après l’avoir enlevé, et qu’ils ont péri tous les deux dans un incendie".
"— Donc, vous comptez vous marier ? insista la jeune femme, déconcertée.
— Si Peter est mort, oui. Mais il me faudra trouver une femme un peu particulière.
— Comment cela ?
— J’ai vu ma mère mourir à petit feu auprès de mon père dément. Je me suis juré de ne jamais infliger ce triste sort à une femme que j’aimerais et qui m’aimerait. Mais certaines sont prêtes à renoncer à un mariage d’amour pour le privilège d’être duchesse, et se soucient plus de leur statut social que des sentiments.
— Vous avez envie d’une telle épouse pour veiller sur vous si vous perdez la raison ? répliqua Lisette. Une femme vénale qui se contentera d’attendre votre mort ? Cette description un peu brutale lui fit l’effet d’une gifle.
— C’est toujours mieux qu’une future veuve en larmes. La folie de mon père a duré quatre ans. Quatre ans ! Vous imaginez-vous regardant l’homme que vous aimez devenir la risée des salons ?
— Cela ne signifie en rien que vous devez épouser une femme qui ne vous aime pas".
Pour conclure, C'est le premier livre que je lis l'auteure américaine Sabrina Jeffries, et je dois dire que j'ai bien apprécié sa plume. L'histoire était très intéressante et bien évidemment, très plaisante à lire ! En plus de la romance très bien amenée entre Lisette et Max, dont la première rencontre laissait présager une relation haute en couleur, nous avons aussi droit à un road trip de Londres jusqu'à Paris où il va arriver différentes péripéties à nos deux héros puisque ceux-ci sont pris en filature par l'homme de main du demi-frère de Lisette qui est un personnage pour le moins abjecte et cruel... Il va sans dire que je lirai les prochains tomes de cette saga puisqu'ils seront consacrés aux autres personnages masculins croisés dans ce 1er opus !
Ma note : 17/20
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