JR Ward
Les Editions Milady (2017)
Sortie originale 2016
565 pages
Synopsis :
Récemment intégré au programme d'entraînement de la Confrérie, Axe, aussi doué qu'il est sauvage, se complaît dans sa solitude, et l'attraction subite qui naît entre lui et la jeune femme qu'il est chargé de protéger le prend au dépourvu. Pour Elise, récemment victime d'une tragédie familiale, Axe est exactement ce qu'il lui faut pour la distraire de son chagrin. Mais les secrets du jeune homme pourraient bien détruire leur relation avant même qu'elle ne commence... Et même Rhage, qui a pris Axe sous son aile, se révèle impuissant à l'aider lorsqu'un nouveau venu menace la famille qu'il a créée avec Mary. Les deux combattants devront choisir à quoi se raccrocher dans les ténèbres : la colère, ou l'amour ?
Pacte de sang est le 2ème tome de la saga spin-off de La Confrérie de la dague noire, et je dois dire que j'ai été moins emballée que par le tome précédent.
Ce n'est pas forcément à cause d'Axe et d'Elise dont j'ai trouvé la romance plutôt mignonne sans être non plus extraordinaire, mais c'est en fait surtout parce que l'histoire annexe concernait - encore - Rhage et Mary...Dans la mesure où j'ai également lu le tome 14 de La Confrérie de la dague noire ce mois-ci (oui, j'ai lu 3 tomes de la Confrérie de la dague noire et 2 tomes de l'Héritage de la dague noire en ce mois de février 2018...vui vui vui...), je dois dire que j'ai eu ma dose en ce qui concerne ce couple, qui ne fait pas partie de mes préférés, c'est le moins que l'on puisse dire, puisque, à vrai dire, je n'apprécie pas du tout Rhage.....
Ce n'est pas forcément à cause d'Axe et d'Elise dont j'ai trouvé la romance plutôt mignonne sans être non plus extraordinaire, mais c'est en fait surtout parce que l'histoire annexe concernait - encore - Rhage et Mary...Dans la mesure où j'ai également lu le tome 14 de La Confrérie de la dague noire ce mois-ci (oui, j'ai lu 3 tomes de la Confrérie de la dague noire et 2 tomes de l'Héritage de la dague noire en ce mois de février 2018...vui vui vui...), je dois dire que j'ai eu ma dose en ce qui concerne ce couple, qui ne fait pas partie de mes préférés, c'est le moins que l'on puisse dire, puisque, à vrai dire, je n'apprécie pas du tout Rhage.....
Bref, nous les retrouvons ici avec la suite de leur histoire d'adoption de la jeune Bitty, entamée dans le tome 14 de La Confrérie de la dague noire et ici, dans Pacte de sang, et bien, ils semblent relativement stressés car le fameux oncle évoqué par la gamine dans le tome 14 existe vraiment et il revendique dorénavant ses droit sur elle, en tant que plus proche parent encore en vie...
Parallèlement, Pacte de sang continue à nous montrer l'évolution des jeunes recrues de la Confrérie, les entraînements et la mise en pratique sur le terrain qui peut être relativement dangereuse à certains moments...
Parallèlement, Pacte de sang continue à nous montrer l'évolution des jeunes recrues de la Confrérie, les entraînements et la mise en pratique sur le terrain qui peut être relativement dangereuse à certains moments...
Ce que j'ai aimé dans ce livre :
1#-La romance entre Axe et Elise : Bon, on retrouve le même schéma que dans le tome précédent avec un héros roturier et une jeune femelle issue de l'aristocratie (Elise est la cousine de Peyton), par contre, petit élément nouveau, Axe va être engagé par le père d'Elise pour lui servir de garde du corps, car la jeune femelle continue à côtoyer les humains puisqu'elle prépare un doctorat (en psychologie). Nous avons donc droit ici un un remake de Bodyguard à la sauce vampire, avec, en petit plus, le fait qu'Axe est un ancien accroc au sexe et à la drogue, qu'il a grandit avec un traumatisme du à l'abandon de sa mère et la vision de son père dévasté par cette rupture abrupte puis le décès de celui-ci lors des terribles massacres des éradiqueurs qui ont fait énormément de ravages au sein de la communauté vampire deux ans auparavant....En tout cas, j'ai bien apprécié le lien qui va se créer entre nos deux héros surtout qu'Elise est loin d'être une oie blanche, elle n'est plus vierge, elle est intelligente et souhaite avoir le maximum d'indépendance....Et Axe, même s'il ressent une attirance pour elle, ne veut pas lâcher son indépendance et va d'abord avoir du mal à admettre qu'il peut entretenir une relation normale avec une femelle "normale" (lui qui est plutôt adepte aux coups d'un soir avec des nanas désinhibées du Club BDSM....).
"— Si je te commande un autre scotch, est-ce que cela t’aidera à… Ce fut comme un accident de voiture dans sa tête. Une seconde il roulait sur une autoroute déserte dans son état normal de pute rongée par la culpabilité, obsédée par le sexe et l’automortification, et la suivante toutes ses pensées, chaque once de son savoir, même au niveau de son inconscient, s’écrasait violemment contre une femelle blonde d’un mètre soixante-dix-sept aux yeux d’ange, dotée d’un corps divin et d’un visage présentant un mélange étonnant d’effroi et de détermination. Axe se redressa dans son siège comme si on avait soudain raccordé son cul à la batterie d’une Chevrolet, et la salle autour de lui se mua en un tunnel obscur à l’extrémité duquel la seule lumière visible était cette femelle que le mâle, sous le coup de l’émotion, imaginait entourée d’un halo… Peyton se mit soudain en travers de son chemin. Ce misérable enfoiré eut le culot colossal de se lever et d’accueillir l’inconnue d’une étreinte. Puis il se mit à lui parler, et son corps musculeux boucha la vue de la femelle à Axe, qui songea aussitôt que l’arrière de la tête du bellâtre offrirait une excellente cible pour une balle, un marteau, voire un piano en chute libre".
"Le problème fut enfin résolu quand ce fils de pute s’écarta et commença les présentations. Mais alors la situation empira.
— Voici ma cousine, Elise, annonça-t-il à la cantonade".
"— Voici Boone, Novo… et Axe. Elise salua de la tête chaque recrue, jusqu’à ce qu’elle arrive au dernier mâle. Elle ne sut pas trop ce qu’elle fit alors. Peut-être fut-elle victime d’une attaque cérébrale ? ou d’une commotion spontanée ? Parce que, ce fut certain, elle oublia tout et tout le monde à l’instant où elle croisa son regard. Le bar à cigares, les humains autour d’eux et même la raison de sa venue en ce lieu disparurent comme si quelqu’un avait passé l’univers à l’effaceur. Il lui parut extraordinaire. Ou plutôt… extraordinairement dangereux. Quelle que soit la façon dont elle aurait pu définir l’impression qu’il lui fit, elle eut l’intuition qu’il allait changer sa vie. Le mâle était assis un peu à l’écart de la lumière tamisée qui tombait du plafond, et les ombres qui le recouvraient semblaient le protéger comme s’il était l’une des leurs. Il avait des cheveux foncés, noirs, épais et coiffés en épis, et un immense corps prêt à bondir à l’assaut en un clin d’œil. Les tatouages qui s’étendaient de façon visible sur la moitié de son cou et les piercings qui ornaient son oreille et son sourcil gauches le rendaient encore plus effrayant. Et puis il y avait ses vêtements noirs, qui le couvraient d’une manière qui suggérait que des armes pouvaient se trouver cachées dessous. Le menton incliné vers la poitrine, il la dévisageait entre ses cils, et elle crut voir ses yeux jaune pâle se mettre à luire lorsqu’ils s’arrêtèrent sur elle, et elle seule. Sa première idée cohérente fut que c’était un prédateur. La seconde : qu’elle voulait qu’il l’attrape.
— Elise ? Comme Peyton prononçait son nom et se plaçait entre eux, elle se secoua.
— Je te demande pardon, quoi ? La mine renfrognée de son cousin suggérait qu’il avait remarqué le lien qui s’était établi entre eux et que – sans surprise – il le désapprouvait. Mais bon, vu la façon dont le mâle dans le coin la regardait, nul besoin d’être un parent de sang possessif pour refuser qu’une femelle se trouve à proximité de ce type".
"— Si je te commande un autre scotch, est-ce que cela t’aidera à… Ce fut comme un accident de voiture dans sa tête. Une seconde il roulait sur une autoroute déserte dans son état normal de pute rongée par la culpabilité, obsédée par le sexe et l’automortification, et la suivante toutes ses pensées, chaque once de son savoir, même au niveau de son inconscient, s’écrasait violemment contre une femelle blonde d’un mètre soixante-dix-sept aux yeux d’ange, dotée d’un corps divin et d’un visage présentant un mélange étonnant d’effroi et de détermination. Axe se redressa dans son siège comme si on avait soudain raccordé son cul à la batterie d’une Chevrolet, et la salle autour de lui se mua en un tunnel obscur à l’extrémité duquel la seule lumière visible était cette femelle que le mâle, sous le coup de l’émotion, imaginait entourée d’un halo… Peyton se mit soudain en travers de son chemin. Ce misérable enfoiré eut le culot colossal de se lever et d’accueillir l’inconnue d’une étreinte. Puis il se mit à lui parler, et son corps musculeux boucha la vue de la femelle à Axe, qui songea aussitôt que l’arrière de la tête du bellâtre offrirait une excellente cible pour une balle, un marteau, voire un piano en chute libre".
"Le problème fut enfin résolu quand ce fils de pute s’écarta et commença les présentations. Mais alors la situation empira.
— Voici ma cousine, Elise, annonça-t-il à la cantonade".
"— Voici Boone, Novo… et Axe. Elise salua de la tête chaque recrue, jusqu’à ce qu’elle arrive au dernier mâle. Elle ne sut pas trop ce qu’elle fit alors. Peut-être fut-elle victime d’une attaque cérébrale ? ou d’une commotion spontanée ? Parce que, ce fut certain, elle oublia tout et tout le monde à l’instant où elle croisa son regard. Le bar à cigares, les humains autour d’eux et même la raison de sa venue en ce lieu disparurent comme si quelqu’un avait passé l’univers à l’effaceur. Il lui parut extraordinaire. Ou plutôt… extraordinairement dangereux. Quelle que soit la façon dont elle aurait pu définir l’impression qu’il lui fit, elle eut l’intuition qu’il allait changer sa vie. Le mâle était assis un peu à l’écart de la lumière tamisée qui tombait du plafond, et les ombres qui le recouvraient semblaient le protéger comme s’il était l’une des leurs. Il avait des cheveux foncés, noirs, épais et coiffés en épis, et un immense corps prêt à bondir à l’assaut en un clin d’œil. Les tatouages qui s’étendaient de façon visible sur la moitié de son cou et les piercings qui ornaient son oreille et son sourcil gauches le rendaient encore plus effrayant. Et puis il y avait ses vêtements noirs, qui le couvraient d’une manière qui suggérait que des armes pouvaient se trouver cachées dessous. Le menton incliné vers la poitrine, il la dévisageait entre ses cils, et elle crut voir ses yeux jaune pâle se mettre à luire lorsqu’ils s’arrêtèrent sur elle, et elle seule. Sa première idée cohérente fut que c’était un prédateur. La seconde : qu’elle voulait qu’il l’attrape.
— Elise ? Comme Peyton prononçait son nom et se plaçait entre eux, elle se secoua.
— Je te demande pardon, quoi ? La mine renfrognée de son cousin suggérait qu’il avait remarqué le lien qui s’était établi entre eux et que – sans surprise – il le désapprouvait. Mais bon, vu la façon dont le mâle dans le coin la regardait, nul besoin d’être un parent de sang possessif pour refuser qu’une femelle se trouve à proximité de ce type".
2#-Axe qui remet à sa place Elise : Oui, c'est peut-être un détail, mais j'ai énormément apprécié la manière dont Axe va défendre sa cause face à Elise qui le condamne sur des a priori et des rumeurs. Même si la jeune femelle est censée préparer un doctorat sur les traumatismes psychologiques, à partir du moment où elle est elle-même impliquée émotionnellement, elle va agir un peu n'importe comment et j'avoue, j'en ai souffert pour Axe, car le pauvre, il n'avait rien (ou presque) à se reprocher !
"— L’honnêteté ? Tu veux parler d’honnêteté ? Depuis combien de temps tu t’esquivais dans le dos de ton père ? Et tu n’as été franche avec lui au sujet de tes escapades qu’après t’être fait surprendre. Tu as échangé ton téléphone avec celui de ton meilleur pote Peyton pour que personne ne sache où tu te trouvais quand tu étais avec moi. Tu es entrée par effraction dans l’appartement de ta cousine. (Il la pointa du doigt dans l’atmosphère tendue.) Tu veux faire de moi un enfoiré, très bien, vas-y. Mais ne prétends pas une seconde être un parangon de vertu et de moralité. Parce que ce sont des conneries, mon cœur. La seule différence entre nous, c’est que moi je ne te juge pas et que je ne tire pas de conclusions hâtives sur toi. Elise regarda le feu mourant. Au bout d’un moment, elle hocha la tête.
— Tu as parfaitement raison.
— Merci de ton approbation. C’est très important pour moi. (Elle se leva en laissant le manteau de côté et en déposant la foutue clé dessus.) Mais cela ne change rien. En réalité, je ne t’en veux pas d’avoir couché avec Novo, d’être allé au club ou de jouer les idiots…
— Tu en es sûre ?
— Oui. (Elle lui fit face, et, vu la façon dont elle le dévisagea, il sut sans hésiter que c’était la dernière fois qu’ils se retrouvaient dans un espace clos ensemble.) Je suis en colère contre moi-même. Je m’en veux de ne pas m’être rendu compte que je compensais mes névroses familiales en me lançant dans une relation physique irréfléchie.
— Ouais, on dirait que tu as tout compris. Tu l’as même formulé dans un joli petit discours de psy. Tant mieux pour toi. Oui, il parlait comme un fils de pute amer, mais qu’était-il censé faire d’autre, bordel ! Elle l’avait jugé et condamné ; tout était fini, emballé. Et il allait atterrir dans le couloir de la mort. Parce que c’était ce que serait la vie sans elle. Une mort lente. Elise secoua lentement la tête et enfila son manteau.
— Je n’aurais pas dû plonger dans quoi que ce soit avec quelqu’un. Et, comme je te l’ai dit, je ne t’en veux pas. Tu ne me devais rien. Ce n’est pas comme si nous avions eu une grande discussion sur la monogamie avant que tu ailles coucher avec d’autres personnes. Je ne te connais que depuis une semaine, donc… voilà, j’ai appris la leçon. Axe étrécit les yeux.
— Et qu’est-ce que tu as appris, exactement ?
— Que la seule personne à laquelle on peut vraiment se fier, c’est soi-même. Et tant qu’on se souvient de ça on se porte bien. Peu importe ce qui arrive".
"— L’honnêteté ? Tu veux parler d’honnêteté ? Depuis combien de temps tu t’esquivais dans le dos de ton père ? Et tu n’as été franche avec lui au sujet de tes escapades qu’après t’être fait surprendre. Tu as échangé ton téléphone avec celui de ton meilleur pote Peyton pour que personne ne sache où tu te trouvais quand tu étais avec moi. Tu es entrée par effraction dans l’appartement de ta cousine. (Il la pointa du doigt dans l’atmosphère tendue.) Tu veux faire de moi un enfoiré, très bien, vas-y. Mais ne prétends pas une seconde être un parangon de vertu et de moralité. Parce que ce sont des conneries, mon cœur. La seule différence entre nous, c’est que moi je ne te juge pas et que je ne tire pas de conclusions hâtives sur toi. Elise regarda le feu mourant. Au bout d’un moment, elle hocha la tête.
— Tu as parfaitement raison.
— Merci de ton approbation. C’est très important pour moi. (Elle se leva en laissant le manteau de côté et en déposant la foutue clé dessus.) Mais cela ne change rien. En réalité, je ne t’en veux pas d’avoir couché avec Novo, d’être allé au club ou de jouer les idiots…
— Tu en es sûre ?
— Oui. (Elle lui fit face, et, vu la façon dont elle le dévisagea, il sut sans hésiter que c’était la dernière fois qu’ils se retrouvaient dans un espace clos ensemble.) Je suis en colère contre moi-même. Je m’en veux de ne pas m’être rendu compte que je compensais mes névroses familiales en me lançant dans une relation physique irréfléchie.
— Ouais, on dirait que tu as tout compris. Tu l’as même formulé dans un joli petit discours de psy. Tant mieux pour toi. Oui, il parlait comme un fils de pute amer, mais qu’était-il censé faire d’autre, bordel ! Elle l’avait jugé et condamné ; tout était fini, emballé. Et il allait atterrir dans le couloir de la mort. Parce que c’était ce que serait la vie sans elle. Une mort lente. Elise secoua lentement la tête et enfila son manteau.
— Je n’aurais pas dû plonger dans quoi que ce soit avec quelqu’un. Et, comme je te l’ai dit, je ne t’en veux pas. Tu ne me devais rien. Ce n’est pas comme si nous avions eu une grande discussion sur la monogamie avant que tu ailles coucher avec d’autres personnes. Je ne te connais que depuis une semaine, donc… voilà, j’ai appris la leçon. Axe étrécit les yeux.
— Et qu’est-ce que tu as appris, exactement ?
— Que la seule personne à laquelle on peut vraiment se fier, c’est soi-même. Et tant qu’on se souvient de ça on se porte bien. Peu importe ce qui arrive".
3#-Les prémices de la future relation entre Peyton et Novo : Aaaah ! Depuis que ces deux personnages sont apparus dans le 1er tome de L'héritage de la dague noire, je sentais leur alchimie cachée derrière tous leurs petits piques et leurs joutes verbales.....La tension monte d'un cran supérieur entre le jeune aristocrate et la jeune femelle délurée et sûre d'elle....Il me tarde de lire le prochain tome qui leur sera consacré !
"Le problème pour lui ne venait pas tant du fait qu’il se souciait de passer pour un connard. Merde ! si cela l’ennuyait, il se serait pendu dans le placard des années plus tôt. C’était l’idée que Novo le prenne pour un connard qui le hérissait. Merde ! il était peut-être encore plus vieux jeu qu’il n’avait cru. Il avait certainement tenu le même discours à Paradis quand elle lui avait appris qu’elle rejoignait le programme d’entraînement, et regardez comment ça s’était déroulé. Elle avait fini Primus, première recrue de la brutale sélection qu’ils avaient tous passée. Donc, ouais, il s’était trompé à son sujet. Se trompait-il sur Novo ? sur les femelles en général ? Il avait peut-être simplement besoin de coucher avec cette dure à cuire. À l’instant où cette pensée le traversa, il se mit à bander, et ce ne fut pas une surprise. Il était attiré par elle depuis le premier jour".
"Le problème pour lui ne venait pas tant du fait qu’il se souciait de passer pour un connard. Merde ! si cela l’ennuyait, il se serait pendu dans le placard des années plus tôt. C’était l’idée que Novo le prenne pour un connard qui le hérissait. Merde ! il était peut-être encore plus vieux jeu qu’il n’avait cru. Il avait certainement tenu le même discours à Paradis quand elle lui avait appris qu’elle rejoignait le programme d’entraînement, et regardez comment ça s’était déroulé. Elle avait fini Primus, première recrue de la brutale sélection qu’ils avaient tous passée. Donc, ouais, il s’était trompé à son sujet. Se trompait-il sur Novo ? sur les femelles en général ? Il avait peut-être simplement besoin de coucher avec cette dure à cuire. À l’instant où cette pensée le traversa, il se mit à bander, et ce ne fut pas une surprise. Il était attiré par elle depuis le premier jour".
4#-Hum ! Quelque chose entre Ruhn et Saxton ? Allons bon ! Je ne me rappelais plus que Saxton, l'avocat qui travaille pour la confrérie était homosexuel et était sorti avec Blay avant que celui-ci trouve l'amour avec Vhif....Bref, Saxton est désormais célibataire et sa rencontre avec Ruhn, l'oncle de la petite Bitty semble....Hum.....Et bien prometteur ! Ruhn est un homme simple et sans chichi, qui n'avait finalement plus d'attaches chez lui et du coup, il travaille dorénavant comme "homme à tout faire" à la Confrérie....Il faut absolument que JR Ward écrive une romance entre ces deux mâles !!!!
"Il n’a plus qu’à les signer, expliqua gentiment l’avoué.
— Signer quoi ? demanda le mâle, qui revenait dans le vestibule avec Bitty. Oh ! Oui, Avec plaisir. Quand il parla, Saxton se retourna et marqua un temps d’arrêt.
— Vous vous êtes déjà rencontrés, mais n’avez pas encore été présentés l’un à l’autre, n’est-ce pas ? dit Mary. Saxton, voici l’oncle de Bitty, Ruhn. Ruhn, voici Saxton, le gardien de nos lois, mais aussi un fin stratège et une personne formidable à tous égards. Saxton dévisagea le mâle, qui s’inclina très bas.
— Messire. Il y eut un silence. Puis l’avocat tendit la main.
— Je vous en prie. Saxton, c’est tout. Ruhn observa ce qu’on lui offrait d’un air désorienté.
— Mes… euh… mes mains sont calleuses.
— Mais bien entendu, murmura Saxton en laissant retomber son bras".
"Il n’a plus qu’à les signer, expliqua gentiment l’avoué.
— Signer quoi ? demanda le mâle, qui revenait dans le vestibule avec Bitty. Oh ! Oui, Avec plaisir. Quand il parla, Saxton se retourna et marqua un temps d’arrêt.
— Vous vous êtes déjà rencontrés, mais n’avez pas encore été présentés l’un à l’autre, n’est-ce pas ? dit Mary. Saxton, voici l’oncle de Bitty, Ruhn. Ruhn, voici Saxton, le gardien de nos lois, mais aussi un fin stratège et une personne formidable à tous égards. Saxton dévisagea le mâle, qui s’inclina très bas.
— Messire. Il y eut un silence. Puis l’avocat tendit la main.
— Je vous en prie. Saxton, c’est tout. Ruhn observa ce qu’on lui offrait d’un air désorienté.
— Mes… euh… mes mains sont calleuses.
— Mais bien entendu, murmura Saxton en laissant retomber son bras".
Ce que je n'ai pas aimé dans ce livre :
Rhage et ses simagrées : Alors celui-là, mais qu'est-ce qu'il m'énerve !!!! Il m'a déjà fait chier dans le tome 14 de la Confrérie de la dague noire alors du coup, le revoir encore en guest star dans ce tome 2 du spin-off, pitié !!!!!!!!! Très franchement, je n'aime pas du tout ce personnage et il y a un moment qui m'a vraiment choquée, c'est quand les jeunes recrues (Axe et compagnie, plus Elise, une civile !) vont être mis en danger par une attaque d'éradiqueurs....Rhage va prendre la décision d'aller les aider seul, sans demander aux autres guerriers comme Viszs ou Zadiste de venir en renfort parce que ceux-ci sont déjà occupés à surveiller l'entretien avec la petite Bitty avec son oncle Rhun.....Putain de bordel de merde !!!!!!!!!!!!!! Comment Rhage peut comparer ces deux situations !!!! La gamine ne risquait pratiquement rien avec son oncle, le frère de sa mahmen décédée ! Par contre, les jeunes recrues vampires risquaient leur vie face à des éradiqueurs !!!! Comme quoi, j'ai toujours pensé que Rhage était un connard, et c'est encore une fois confirmé dans ce tome ! Alors ok, je suis contente pour Mary que tout se termine bien pour leur couple, leur famille, avec le fait que Bitty va rester auprès d'eux, mais quand même, Rhage a vraiment un comportement limite et j'espère que JR Ward ne va plus le remettre en avant dans les prochains tomes, car là, j'ai vraiment eu ma dose ! ....Ras le bol de Rhage !!!!!
"— Qu’y a-t-il ? s’enquit Mary.
— Des recrues coincées avec des tueurs, et je veux que les frères restent avec Bibi et son oncle, c’est plus important.
— Sois prudent, l’enjoignit sa shellane.
— Toujours. (Il se pencha pour l’embrasser.) Tu le sais bien. Il détestait laisser sa compagne seule, les yeux écarquillés et effrayés. Mais il n’y avait pas de temps à perdre. Il monta, s’équipa, puis ouvrit une fenêtre, pour se dématérialiser jusqu’à l’endroit où Axe avait envoyé le SMS".
"— Qu’y a-t-il ? s’enquit Mary.
— Des recrues coincées avec des tueurs, et je veux que les frères restent avec Bibi et son oncle, c’est plus important.
— Sois prudent, l’enjoignit sa shellane.
— Toujours. (Il se pencha pour l’embrasser.) Tu le sais bien. Il détestait laisser sa compagne seule, les yeux écarquillés et effrayés. Mais il n’y avait pas de temps à perdre. Il monta, s’équipa, puis ouvrit une fenêtre, pour se dématérialiser jusqu’à l’endroit où Axe avait envoyé le SMS".
Pour conclure, ce tome est un poil en dessous du précédent pour moi, à cause, notamment, de la mise en lumière de Rhage, que, décidément, je n'apprécie pas ! Mais pour ce qui est de l'histoire entre Axe et Elise, je l'ai bien appréciée, même si je l'ai trouvée moins intense que la romance entre Paradis et Craeg. Quoi qu'il en soit, j'ai bon espoir pour le prochain tome qui sera consacré à Peyton et Novo. Ces deux-là nous donnent déjà un bon aperçu de leur future relation dans Pacte de sang....Entre l'aristocrate macho et un peu réac et la jeune femelle libre, féministe et sensuelle, cela risque de faire des étincelles ! Vivement la suite !
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